Unepâte à tartiner maison est tellement simple à préparer qu'il serait dommage de ne pas essayer et goûter.. Rien à voir avec la célèbre marque !Abonne-toi
Je pense que toi aussi tu dois avoir eu une multitude de chocolats pour Pâques et que tu ne sais plus quoi en faire. Je te propose aujourd’hui de regrouper plusieurs idées qui t’aideront à écouler plus rapidement ton stock sans pour autant avoir mal au foie à cause d’une overdose de chocolat. Quoi faire avec des restes de chocolat Pâte à tartiner facile avec des restes d’oeufs en chocolat. S’il te reste beaucoup d’œufs, pourquoi ne pas en faire une bonne pâte à tartiner? Préparation rapide et facile avec un temps de pause au frigo d’environ 1 à 2 h. Tu trouveras la recette en suivant le lien sur le blog Parole de mamans Des Cupcake aux Chocobon ou avec le reste des oeufs en chocolat. J’ai été sélectionnée pour être Ambassadrice de la campagne Vahiné chez les Initiés. Du coup cette recette mon été inspiré par la préparation à cupcake reçu dans le kit. Pour voir la recette, il suffit de cliquer ici Moelleux au chocolat. Il te suffit de suivre une recette que tu fais habituellement, mais en remplaçant le chocolat par un ou plusieurs lapins de Pâques en chocolat Une Glace au Kinder Sympa l’idée non? Moi je pense que je vais me laisser séduire par l’idée. Tu trouveras la recette sur le site glace-sorbet Une mousse au chocolat. Voilà une idée qui peut servir de dessert, mais aussi pour la réalisation d’une Charlotte au chocolat. J’ai trouvé cette recette sur le site Marmiton. Perso, je l’ai déjà essayé et elle est simple à réaliser et très légère. N’hésite pas à y laisser des copeaux de chocolat à l’intérieur pour les fondus de chocolat. Ah tiens je viens d’avoir une idée… Une fondue au chocolat . Fais fondre au bain-marie tes chocolats, prépare et découpe plusieurs fruits pommes, poire, fraise, banane, des Chamalow, de la noix de coco râpé …. et le tour est joué. Invite des amis et hop c’est partie pour un délice. Un glaçage au chocolat si tu prépares un gâteau, même un marbré ou peut importe, tu peux le recouvrir d’un glaçage. Utilise alors le reste des chocolats que tu as pour en faire une grâce à cette recette Fondant au chocolat pour les mordues de chocolat, qui aime le chocolat chaud. Cette recette est faite pour eux. Tu pourras ainsi faire environ 6 fondants chocolat individuel. Tartines de chocolat. Coupe en petit morceau le chocolat et dépose-le sur une tranche de brioche beurrée. Un délice pour le goûter. Et si tu essayais ma recette du Babka Cake ? Je l’ai préparé avec un lapin de Pâques fondu et c’était un délice Tu peux aussi préparer des mendiants au chocolat. Pour toi ou pour offrir 🙂 Et toi tu as d’autres idées pour utiliser le chocolat de Pâques? Navigation de l’article
L'arrivée du chocolat en Europe éveilla l'inventivité des gourmets. Aussi précieuses que furent les chocolatières, les Européens n'inventèrent rien et, en ingrats patentés, se gardèrent bien de remercier les anciennes civilisations méso-américaines dont ils étaient redevables pour leur chocolatière chocolat chaud et privilègesLoin de l’évocation exotique d’un rituel aztèque sanguinolent, le Nesquik matinal et son indispensable lecture exégétique du paquet de Chocapic, sont les héritiers dévoyés du chocolat en tant que boisson sacrée d’Amérique du sud. Sans doute les Aztèques n’avaient pas envisagé un succès aussi pérenne et hérétique mais notre bonne reine Marie Leczinska 1703-1768, épouse de Louis XV 1710 – 1774 l’ignorait et sans moquait certainement comme de sa première tiare. Usant joyeusement de sa chocolatière, la reine plongea sans doute maintes fois ses royales tartines dans un chocolat chaud préparé et consommé selon une méthode relevant du paganisme le plus éhonté. L’hérétique moderne que tu es n’a sans doute cure de ces recettes d’Ancien Régime. Pourtant, tu ne vaux pas mieux que nos rois soudainement raccourcis au crépuscule du XVIIIe siècle. Toi qui prépares sournoisement ton chocolat à l’aide d’une casserole et de cacao en poudre ou – pire ! – dans un micro-ondes laid et bruyant. La chocolatière valait bien mieux mais le temps glorieux de Versailles ne fait pas le poids face à Darty et c’est discrètement mais le moussoir haut que la chocolatière s’en est allée, seule mais fière. Fière elle pouvait l’être innocemment, elle avait infiltré notre noblesse pieusement catholique, lui faisant maladroitement reproduire à son insu les plus remarquables rituels précolombiens. Nécessaire en vermeil argent doré à thé, chocolat et café offert par Louis XV à la reine Marie Leczinska à l’occasion de la naissance du premier Dauphin. Travail réalisé par Henri-Nicolas Cousinet, reçu Maître orfèvre à Paris en 1724. © RMN - Jean-Gilles BerizziCette belle chocolatière en vermeil aux formes chantournées est un bel exemple des envolées dont était capable le style rocaille. Dissymétrie et traitement fouillé de la ciselure donnent du mouvement à la pièce qui semble s’animer au contact de la lumière. Les dauphins qui forment le bec verseur et le pied tripode de la chocolatière sont une charmante évocation de l’événement que ce cadeau célèbre la naissance du dauphin de France. Installée dans le grand cabinet de la reine, la chocolatière n’y était pourtant pas assignée et accompagnait la souveraine lors de ses voyages. À la mort de Marie Leczinska, l’ensemble fut offert à sa dame d’honneur, la comtesse de Noailles, préservant ces délicats objets des ventes, fontes et autres destructions révolutionnaires. Marie Leczinska ne connut pas les affres de la Révolution mais elle connut trop bien celles des grossesses à répétition. Elle donna au roi dix enfants en dix ans ; une tasse de chocolat n’était pas de trop pour supporter ce genre d’épreuves. La reine raffolait du chocolat, un produit de son temps aussi exotique qu’il était incroyablement luxueux. Chocolatière en argent, d’époque Louis XV datée de 1748 © AnticStoreLe chocolat avait pour la première fois franchit les portes de Versailles grâce à Anne d’Autriche, infante d’Espagne et future mère de Louis XIV. Importé en péninsule ibérique par les conquistadores, le chocolat fut un succès immédiat. On disait de lui qu’il faisait se pâmer les femmes », une conséquence qui semblait gage de qualité à une époque où le GHB était encore loin d’éveiller l’intérêt de quelque chimiste aussi laid que frustré. Provenant du Nouveau Monde, le chocolat n’était encore disponible ni en tablette ni en poudre mais se présentait sous la forme d’une pâte amère. Une sorte de Nutella, moins mou, sans noisette ni promotion propre à déchaîner les passions d’individus plus pauvre d’esprit que de finance. Constatant avec sagacité que les civilisations d’Amérique du sud s’en délectait, on s’empressa d’en faire autant. Pour obtenir le chocolat à boire » comme on l’appelait alors, la pâte devait être mélangée à un liquide – de l’eau ou de lait – tout en chauffant le récipient pour que les deux ingrédients s’incorporent correctement. La chocolatière européenne fut précisément inventée dans ce but car il manquait aux Européens la dextérité aztèque propre à l’obtention d’un cacao digne de ce nom. Pour obtenir un mélange homogène on dota ce nouvel ustensile d’un moussoir », une sorte de tige à ailettes souvent en ébène glissée dans une ouverture aménagée sur le couvercle, juste à côté du fretel la prise qui permet d’ouvrir le couvercle. Le moussoir devait être rapidement roulé entre les paumes des mains pour imprimer un mouvement aux ailettes qui agissaient comme la roue d’un moulin à eau. De la même manière que dette dernière créé de l’écume, les ailettes du moussoir mélangeaient de manière homogène la pâte et le liquide jusqu’à rendre le mélange mousseux et onctueux. Toute l’opération devait être effectuée en maintenant la chocolatière sur un feu doux afin que la pâte de cacao puisse continuer de fondre ce qui facilitait considérablement le travail. Indispensable à l'homogénéité du mélange, le petit réchaud permet de chauffer la chocolatière pour mieux faire fondre la pâte cacao dans l'eau ou le toute nouvelle chocolatière n’était pourtant pas une innovation chez les Aztèques. La préparation du chocolat relèvait alors en Amérique du Sud et en Amérique centrale d’une tradition séculaire dont on fut sans doute fier de présenter les subtilités aux visages pâles nouvellement débarqués. Pour un temps seulement car les envahisseurs n’avaient vraisemblablement pas encore l’âme d’un Antoine de Maximy. Le succès de l’ustensile, s’il arriva tardivement, tient aussi bien à la lenteur des voyages de l’époque qu’aux papilles dubitatives de conquistadores pas vraiment convaincus par le cacao lors de la première dégustation qu’ils en firent. Et pour cause, le xocoatl aztèque était une eau mêlée de cacao et de rocou, une épice rouge très colorante. Cette couleur était nécessaire car elle renforçait l’association du xocoatl au sang, une symbolique alors commune à de nombreuses cultures méso-américaines et explicitée dans un passage des Chilam Balam manuscrits mayas datant des XVIIe et XVIIIe siècles. La place primordiale qu’occupe le cacao dans ces sociétés est telle qu’il servait aussi bien de monnaie d’échange que de valeur symbolique religieuse associée au cœur et à la fertilité. Précieux et imprégné d’une prophylaxie remarquable, le cacao était consommé durant les cérémonies de mariage et de fiançailles. Dans la liturgie religieuse catholique, le cacao pourrait trouver une résonance dans l’usage et la symbolique du vin de messe. Nuance néanmoins ! Ne t’en vas pas confondre naïvement xocoatl et cacao. Le xocoatl était réservé à l’élite et consommé lors des sacrifices ou cérémonies religieuses. Le cacao quant à lui était le commun de la population. On l’utilisait sous forme de poudre dans des gruaux mêlant farine de maïs, épices et aromates. Connu sous le nom d’atole, ce plat populaire pouvait être parfumé de vanille provenant du Mexique, de poivre, de fleurs ou de graines. Voilà qui nous rapproche davantage de l’usage gastronomique que nous en faisons. Vase de Princeton 670 – 750 après © Princeton University Art Museum, USA Ami anglophone, tu trouveras une riche description de ce vase ici. Quant à toi, le francophone, tu devras te contenter de tes yeux et réfléchir à cette aversion peu justifiée pour la langue de Shakespeare. Rechignant à imiter les pécores fussent-ils aztèques, les Espagnols s’empressèrent de préparer le cacao à la manière des rois et des princes de ces pays nouvellement découverts. Quelques modifications à la recette ne furent pas de trop pour adapter la boisson au délicat palais européen. Nous en savons gré au vase de Princeton 670 – 750 ap. d’en apprendre davantage sur la technique du moussage ». Cette dernière qui consistait à verser le liquide de très haut pour faire mousser et rendre le mélange homogène existait déjà en Amérique du sud depuis fort longtemps mais sa mise en pratique par les Européens leur parut sûrement triviale. Rien n’est jamais assez bien pour un exigeant Européen. Les conquistadores n’inventèrent donc rien et se contentèrent – comme c’était leur habitude – de piller du mieux qu’ils purent. Tasse à chocolat maya en céramique. Entre 600 et 800. Classique tardif © Princeton University Art MuseumLe chocolat à l'eau d'endives et autres délices d'antanLes Espagnols s’emparèrent donc du xocoatl, du cacao, de la recette de comment mélanger tout ça et de quelques autres babioles puis s’en allèrent gaiement inventer les Chocapic. Une fois le nouveau breuvage présenté à la cour d’Espagne, il devint immédiatement un indispensable tendance de la señorita à fraise en dentelle. Quelques années plus tard, sa comparse française succomba aux mêmes charmes avant que ces subtilités aromatiques n’éveillent les hostilités inhérentes à une guerre larvée de dominations culturelles et gastronomiques. En France, le chocolat se consomme avec des épices mais les débats font rage quelle est la bonne manière de le boire ? Certainement pas celle de ces emplumés d’Aztèques. Heureusement, la médecine occidentale veille au grain et dieu sait qu’elle n’est pas du genre à donner dans la nuance. Les recettes se multiplient à mesure que les médecins s’emparent de l’exotique ingrédient. Les recommandations accompagnant la consommation de chocolat varient selon les critères de classification des substances de la médecine humorale, médecine incroyablement inefficace qui fit maintes fois preuves de son incompétence. Chocolatière en vermeil à poignée d’ivoire Maison Christofle, XIXe siècle © Coutau-Bégarie et AssociésCette science à la pointe de l’expérimentation hasardeuse entendait soigner le corps en équilibrant les quatre éléments fondamentaux air, feu, terre et eau qui le composaient de manière à ce que ces éléments n’entrent pas en confrontation avec les quatre qualités qui leur étaient associées chaud, froid, sec et humide. Un travail hautement sérieux basé sur des textes antiques dont la lecture, même maladroite, autorisait tous les médecins d’Europe à donner leur avis. Chaque praticien prenait régulièrement soin de s’opposer par principe à l’avis de ses confrères limitrophes, motivé en cela par d’évidentes raisons patriotiques. Ainsi, les recettes de chocolat en Europe étaient fort diverses. Parfois très épicé, le chocolat à la française » pouvait tout aussi bien être doux et parfumé de cannelle ou de girofle comme parfaitement dégueulasse lorsqu’il était préparé avec de l’eau d’endive, suivant une recette fameuse qu’un certain François Foucault proposa dans sa thèse de médecine en 1644 thèse qui, étonnement, lui ouvrit grand les portes de la médecine libérale. D’un point de vue scientifique et médical, les Espagnols soutenaient mordicus que le chocolat était un aliment froid et sec tandis que les Français n’entendaient naturellement rien d’autre que la thèse inverse. Jean-Baptiste Charpentier le Vieux 1728 - 1806, La famille du duc de Penthièvre en 1768 ou La tasse de chocolatToujours est-il que la chocolatière de Marie Leczinska, comme toutes celles fabriquées au XVIIe, XVIIIe et XIXe siècle sont les lointaines cousines des récipients utilisés par les Aztèques. Et le chocolat, produit de luxe aux saveurs épicées et impies, fut encore longtemps prescrit comme remède ou au contraire accusé de favoriser toutes sortes de maladies. Dans le rôle de l’ambassadrice schizophrène du chocolat, notons le riche apport de George Sand 1804 – 1816 qui, avec une régularité toute suisse, s’évertua tour à tour à encenser le précieux ingrédient puis à le maudire de tout son être. Curieusement, la valeur prophylactique du chocolat en Europe faisait mystérieusement écho à celle que lui attribuaient les peuples de la Méso-Amérique.
Tempsde préparation : 10 mn / Temps de cuisson : 10 mn / Total : 20 mn. Ingrédients pour un pot de pâte à tartiner : 125 g de noisettes. 190 g de miel liquide. Préparation : Préchauffez le four à 150°C. Concassez les PÂTE A TARTINER CAROUBEPâte à tartiner caroube est très différente des pâtes à tartiner de la grande distribution. La poudre de caroube provient de la graine d'une gousse, un produit qui n'a pas subi de transformation industrielle toxique. L'huile de coco est reconnue pour ses bienfaits et le miel est dosé raisonnablement. Elle pourra s'imposer et remplacer tous les produits trop gras et trop sucrés. Temps de Préparation 5 minutes Note Votes 37 Évaluation Vous Évaluez cette recette! Temps de Préparation 5 minutes Note Votes 37 Évaluation Vous Évaluez cette recette! Temps de Préparation 5 minutes Note Votes 37 Évaluation Vous Évaluez cette recette! Temps de Préparation 5 minutes Note Votes 37 Évaluation Vous Évaluez cette recette!Ingrédients 60 gr poudre caroube 100 gr ou ml eau 2 càs miel 2 càs huile coco 2 càs farine de souchetInstructions de la recette Mettre la poudre de caroube dans un bol. Ajouter de l'eau de coco ou de l'eau plate. Bien mélanger. Ajouter le miel et l'huile de coco fondue à la chaleur douce d'un bain marie Ajouter la farine de souchet. Le souchet ou 'amande de terre' donne une farine qui épaissit les préparations, elle se consomme crue. On pourrait au même titre, utiliser de la poudre d'amande, de noisettes, de coco. Bien mélanger, jusqu'à texture homogène et crémeuse. Placer dans un pot fermé hermétiquement, au frais. Cette pâte va durcir au frigo, mais pas trop de façon à tartiner facilement. Horsde question d'arrêter le Nutella.Et pourtant, des alternatives existent à la célèbre pâte à tartiner.Avec un mixeur, du chocolat et des noisettes, on a Cet aliment et Votre poids Index glycémique 84/110 Elevé Indice de satiété Faible Densité calorique 4/9 Densité moyenne Charge glycémiqueportion de 100g Élevé Cet aliment et Votre santé Indice de densité nutritionnelle Forte Score antioxydant Pauvre Indice PRAL Faiblement basifiant Ratio oméga-6 / oméga-3 0/65 Pauvre Informations Nutritionnelles pour une portion de 100g Légende % ANC homme = % ANC femme = Protéines g pour 100g Protéines g Lipides 3 g pour 100g Lipides 3 g Cholestérol0 mgAcide gamma-linolénique GLA 183 -60 gAcide dihommo-gamma-linolénique 20360 gAcide docosahexaénoïque DHA 226-3 0 gAcide docosapentaénoïque 225-30 g Glucides 90 g pour 100g Glucides 90 g Sucres simples et autres g Energie kCal 400 kCal pour 100g Energie kCal 400 kCal Energie kJ1673 kJ Vitamines et assimilés Vitamine D mcg 0 µg Vitamine C 0 mg Thiamine Vitamine B1 2 mg Riboflavine Vitamine B2 0 mg Niacine vitamine B3 ou PP, en équivalent en niacine totale NE Acide pantothénique Vitamine B5 mg Vitamine B6 mg Vitamine B12 0 µg Equivalents de folate alimentaire EFA 121 µg Minéraux et oligo-éléments Calcium 110 mg Fer mg Magnésium 160 mg Phosphore mg Potassium mg Sodium 640 mg Zinc mg Autres constituants Caféine mg Théobromine mg Recalculer pour Une portion de en gramme Publicité Nous vous conseillons aussi Symptômesde la toxoplasmose. Vous ne constaterez peut-être aucun symptôme ou signe de la toxoplasmose durant la grossesse. Néanmoins, certaines futures mamans ressentent des symptômes similaires à ceux de la fièvre, comme des douleurs corporelles, de la fièvre, de la fatigue ou des maux de tête. Aller plus loin. Référence 1 Je cherche depuis quelque temps à faire ma pâte à tartiner moi-même. J’ai voulu partir de la pâte de noisette achetée au bio pour obtenir ma pâte chocolatée. J’ai réalisé quelques tests et j’en suis arrivée à ce résultat qui nous a beaucoup plu. Cependant, j’imagine que les inconditionnels du Nutella ne retrouveront pas la texture et le goût à l’identique. Cependant, on se rapproche quand même pas mal, je trouve. La pâte est passée dans le bol d’un blender pour donner une consistance onctueuse, cette étape est tout de même indispensable. On obtient ainsi une pâte semi-bio, non sur-dosée en sucre, ni en graisse, avec en prime un peu de crème liquide pour la texture. Je vous conseille donc de la conserver au réfrigérateur et de la sortir 10 min à l’avance pour lui redonner une bonne consistance. Pour 1 pot à confiture 180g de purée de noisette non sucrée bio 140g de chocolat au lait 6cs de sucre glace De la crème liquide entière 1- Faites fondre au bain-marie le chocolat au lait avec la pâte de noisette et le sucre glace. 2- Mélangez bien le tout avec une maryse. 3- Laissez tiédir la préparation. Il se peut que vous remarquiez l’huile de la pâte de noisette se dissocier. Pas de panique, vous allez pouvoir corriger ça à l’étape suivante. 4- Versez la préparation dans le bol dans un blender et versez un peu de crème liquide. Commencez à mixer jusqu’à obtenir la consistance proche du nutella. Il est possible que vous ayez un peu de mal à mixer car la pâte épaissit. Ajoutez au fur et à mesure la crème liquide, mélangez un peu à la spatule et mixez au blender. Allez-y progressivement. 5- Goûtez et rectifiez éventuellement la dose de sucre. 6- Versez dans un pot à confiture et réservez au réfrigérateur. Vous pourriez aussi aimer . 283 353 337 439 461 252 339 61