Jepense que tout le monde aurait dû se lever", a déclaré Elisabeth Lévy. Et d'ajouter : "Ca fait trente ans que ça dure cette affaire. Il y a 30 ans on s'est couché.
Ce lundi 11 avril 2022, Pascal Praud était de retour à la tête de son émission L’Heure des Pros sur CNews. Le ton est monté entre Zineb El Rhazoui et Elisabeth lundi 11 avril 2022, dans L’Heure des pros sur CNews, Pascal Praud est revenu sur les résultats du premier tour de l’élection présidentielle en évoquant Emmanuel Macron et Marine Le Pen. Au cours de l’émission, Zineb El Rhazoui, soutien d’Emmanuel Macron, explique que son défunt compagnon, Charb, du journal Charlie Hebdo, avait voulu interdire le Front national à l’époque. Choquée par cette révélation, Elisabeth Levy attaque violemment Zineb El Rhazoui en lui demandant si elle est fière d’avoir fait une pétition pour interdire un parti politique et mentionne la liberté d’expression. Le ton monte entre les deux femmes tandis que Jordan Bardella, président par intérim du Rassemblement national, également sur le plateau, se demande ce qu’Emmanuel Macron a promis à Zineb El Rhazoui. Cette dernière s’emporte, avec le soutien de Pascal Praud, sur la façon dont il a posé la question. Loïc Signor plus fort que Pascal Praud sur CNews À noter que Pascal Praud signait son retour dans l’émission. Le journaliste étant souffrant la semaine dernière, il était absent depuis le mercredi 6 avril. De ce fait, Pascal Praud a été remplacé. Dans l’édition de L’Heure des Pros du vendredi 8 avril, Loïc Signor a assuré la l’intérim à l’animation. Un changement qui n’a pas perturbé les fidèles de CNews puisque l’émission a réuni 380 000 téléspectateurs, soit 12% de part de marché sur les quatre ans et plus. Pascal Praud se retrouve destitué puisque le programme gagne 0,1 point sur une semaine. Ainsi, Loïc Signor fait mieux. Quelle audience pour L’Heure des Pros avec Julien Pasquet ? Dans L’Heure des pros 2 , de ce vendredi 8 avril, proposée entre 20h05 et 21 heures, présenté par Julien Pasquet, le journaliste et ses chroniqueurs ont notamment évoqué la guerre en Ukraine. Cette édition a été suivie par 365 000 fidèles, soit 1,7% de l’ensemble du public. L’émission perd 0,1 point sur une semaine. L’Heure des pros est à retrouver du lundi au vendredi dès 9 heures sur CNews.
Cinqhéroïnes de romans étrangers sont choisies dans les œuvres suivantes : Vera d’Elisabeth von Arnim, Franza d’Ingeborg Bachmann, Quatuor de Jean Rhys, Vie amoureuse de Laura Kasischke.Elisabeth von Arnim est en couverture du livre. Fanny Lévy analyse un processus d'asservissement, de démolition et d'élimination dans ces
Elle est pas en boubou déjà » cette phrase d’une chroniqueuse envers Rachel Keke fait polémique - Publié le 23 Juin 2022 à 0630 Présente hier soir sur le plateau de TPMP, Elisabeth Lévy choque les chroniqueurs. Ses propos sur Rachel Keke ne passent pas. Invitée hier soir de Cyril Hanouna, Elisabeth Lévy revient sur son commentaire concernant Rachel Keke. Rachel Keke, membre de la coalition de gauche Nupes, est une députée du parti de gauche français La France insoumise. D’origine ivoirienne, ancienne femme de chambre, elle a fait ses premiers pas à l’Assemblée Nationale mardi 21 juin. Alors qu’elle se tient devant le palais Bourbon, elle fait des pas de zouk en déclarant Quand tu gagnes, il faut t’exprimer dans la danse . C’est sur la diffusion de ce moment qu’Elisabeth Lévy commente en direct sur le plateau de L’heure des pros 2 Bon, elle n’est pas en boubou déjà. » Propos choquants et racistes pour Gilles Verdez et Matthieu Delormeau. Alors que le débat oppose Adama Traoré et Elisabeth Lévy, Gilles Verdez intervient en disant Là pour moi vous êtes allés beaucoup trop loin… Quand on regarde l’émission en direct, ça sort spontanément sur le boubou. Là, on voit que spontanément, vous exprimez ce que vous ressentez. Et c’est doublement raciste. » Il explique que c’est non seulement raciste parce qu’elle est une personne de couleur et qu’en plus Elisabeth Lévy l’attaque sur la tenue traditionnelle qu’est le boubou. Le ton est monté sur le plateau Matthieu Delormeau soutient les propos de Gilles Verdez. Il va même plus loin, car il critique le procès d’intention qu’Elisabeth Lévy a eu envers la députée. Elle serait arrivée à l’Assemblée en boubou, vous auriez pu dire que je suis choquée que’. Là, elle n’est pas en boubou et vous dites encore heureux qu’elle ne soit pas en boubou. Cette phrase est totalement raciste . Elizabeth Levy répond après ses propos déplacées Après son passage jugé surréaliste par les internautes et les chroniqueurs, Elisabeth Lévy s’est défendue sur le plateau de TPMP. De toute façon, dès que l’on dit quelque chose, c’est raciste… Ces accusations de racisme en fait ne me touchent plus. » Elle poursuit en expliquant que l’Assemblée nationale ne doit pas être le lieu d’expression d’appartenance communautaire. Une justification qui n’a pas convaincue grand monde sur le plateau, surtout Gilles Verdez qui lui a nouveau rappelé que Rachel Keke n’est pas arrivée en boubou ».
Levoile dit « non-musulman, pas touche ! » tandis que la mini-jupe signifie que tout homme peut fantasmer qu’il a sa chance, pour peu qu’il sache causer aux dames. Attention, cela ne signifie pas que toute femme en mini-jupe soit en quête d’un homme réel. On peut être équipée en mari et/ou amants et aimer susciter le trouble fugace d’inconnus qu’on aurait
Elisabeth Lévy est journaliste et directrice de la rédaction de Causeur. Son dernier numéro d’octobre s’intitule Zemmour, le Gaulois» PROPOS RECUEILLIS PAR Alexandre Devechio AlexDevecchio Votre dernier numéro est consacré à Eric Zemmour. Dans un grand entretien avec vous, il a déclaré Je respecte des gens prêts à mourir pour ce en quoi ils croient-ce dont nous ne sommes plus capables…». Il précise cependant qu’il faut combattre les djihadistes. Avez-vous été choquée par ces propos? Je ne lâche pas mes amis dans la tempête. Face à la meute, ce qui me rapproche d’Eric Zemmour me semble toujours plus important que ce qui me sépare de lui. Pourtant, à Causeur, nous avons avec Eric de multiples désaccords qui sont l’objet d’un dialogue aussi amical que ferme, et souvent explosif. Il y a toujours un moment où ça part en vrille parce que nous allons au bout de nos divergences et que nous ne cherchons pas à le coincer mais à le discuter. Et puis, il réveille ma fibre de gauche. Alors, il nous traite de bobos bienpensants et je lui fais observer qu’il n’est pas à France Inter… Ce préalable étant fait, oui, j’ai été choquée, par la proximité dans la même phrase des termes respect» et terroristes», c’est même écrit dans le journal. Mais je veux continuer à vivre dans un pays où je peux être choquée, blessée, indignée, outrée par les propos des autres – et je vous assure qu’il y a l’embarras du choix. Et quand quelque chose me choque, plutôt que d’agiter une gousse d’ail et de marmonner des formules conjuratoires – il faut détruire Zemmour!» – comme si je venais de découvrir un os à ronger, j’interromps, j’interroge, j’objecte. C’est ce que j’ai fait dans cet entretien. Sa réponse m’a semblé satisfaisante, non pas que je sois d’accord, mais je comprends ce qu’il a voulu dire, j’y reviendrai. Et cela ne m’a pas traversé l’esprit une seconde qu’on pouvait y voir de l’apologie du terrorisme. Zemmour en défenseur de l’islam radical, il fallait y penser! Il n’aurait pas tué Kennedy, aussi? Que vous inspire la plainte déposée contre lui pour apologie du terrorisme? A-t-il été trop loin? M’autorisez-vous encore une parenthèse? Tout d’abord, et je l’ai écrit bien avant cette affaire, faire juger les délits d’apologie du terrorisme par les mêmes chambres que les crimes terroristes est un pur scandale – et en prime, la marque d’un Etat faible. Ainsi, face aux gens qui profèrent des bêtises, des mensonges, ou des choses contestables, il faudrait déployer le même arsenal que face à ceux qui massacrent? A-t-on si peur de Zemmour ou d’autres qu’il faille les poursuivre au lieu de leur répondre? Je précise que je pensais exactement la même chose pour l’odieux je suis Charlie-Coulibaly» de Dieudonné. Les délits d’opinion qu’on appelle aussi délits de presse, car c’est la publication qui crée le délit relevaient en France d’une loi très libérale, car la liberté d’expression, un des droits les plus précieux de l’homme» selon la déclaration de 1789, ne doit être limitée qu’en cas de réelle nécessité. Jean-Marc Rouillan a été condamné après avoir écrit en substance qu’on pouvait tout dire des terroristes du Bataclan sauf qu’ils étaient lâches. Je veux croire que les juges avaient d’autres raisons, Rouillan a réellement été terroriste – ce qui fait une sacrée différence avec Zemmour -, le bon sens et la décence auraient dû le pousser à s’abstenir. N’empêche, s’il apparaissait qu’on peut être condamné simplement pour avoir dit que les terroristes sont des monstres mais pas des lâches, ou même pour avoir dit qu’ils ne sont pas lâches sans avoir précisé qu’ils sont des monstres, alors notre liberté serait beaucoup plus gravement menacée que ce que je crois. Et pourtant, je pense, moi, qu’il faut beaucoup de lâcheté pour faire payer son impuissance à des innocents. S’il y a, comme ils l’annonçaient, une plainte de SOS Racisme, ils n’ont vraiment aucune vergogne un jour ils l’attaquent pour islamophobie et le lendemain pour pro-djihadisme… Si la parenthèse est fermée, revenons à Zemmour que vous inspire la plainte déposée contre lui pour apologie du terrorisme? Nous ne savons pas si des plaintes ont été déposées et par qui. Si ce sont des familles, qu’on me permette de croire qu’elles ont été dupées par des gens qui poursuivent de tout autres objectifs que d’honorer la mémoire des victimes. Vous n’aurez pas ma haine», a écrit le mari d’une victime, et on voudrait nous faire croire que, cette haine, c’est Zemmour qui la mérite? S’il y a, comme ils l’annonçaient, une plainte de SOS Racisme, ils n’ont vraiment aucune vergogne un jour ils l’attaquent pour islamophobie et le lendemain pour pro-djihadisme… En tout cas depuis trois jours, plus personne ne peut ignorer la phrase choquante, répétée hors-contexte avec gourmandise, comme si on voulait choquer encore et encore. Vendredi, sur les bandeaux des écrans TV, ce nouveau dérapage» comme ils disent, rivalisait avec les centaines de morts de l’ouragan Matthew. Comment ne pas être écœuré quand on sent percer, derrière les commentaires faussement indignés, la jubilation de tous ceux qui jalousent le succès de Zemmour – sans jamais chercher à en comprendre les ressorts? Enfin, vous tournez autour du pot par solidarité, pour ne pas avoir à commenter cette phrase Je respecte des gens prêts à mourir pour ce en quoi ils croient-ce dont nous ne sommes plus capables…». Mais non, j’y viens. Vous connaissez la formule, donnez-moi deux mots de la main d’un homme et je le fais pendre. Il est tordant de voir tant de gens avoir une lecture quasiment salafiste d’un entretien paru dans Causeur. Au lieu d’interpréter, de comprendre le sens de ce qui est dit par rapport à un contexte opération qui est au cœur de la culture, on s’attache au sens littéral, on fétichise les mots. Il a dit respect». Il respecte» des barbares, donc c’est un barbare lui-même, fermez le ban. Je m’en veux de ne pas avoir compris que ce terme respect» ne passait pas, même avec des pincettes, car on entend le respect et pas les pincettes. Cependant, comme me le signale un lecteur avec humour, il faudrait peut-être chercher des poux dans la tête de Fabius qui a dit un jour qu’Al Nosra avait fait du bon boulot… Ce que dit Zemmour, c’est que, pour les combattre, il faut les prendre au sérieux et que c’est en sous-estimant nos ennemis qu’on perd les guerres. Allez! Vous n’avez pas cherché à faire de la provocation? À l’instant même, avec Fabius, un peu, si! J’en ai assez qu’on me parle de provocation à chaque fois qu’une idée ou un terme qui dérange surgit dans une discussion, on ne peut pas parler sous la menace! Bien entendu, il n’entrait nullement dans notre intention d’attenter à la mémoire des victimes ni de choquer qui que ce soit. Mais on ne saurait édicter une bonne façon de parler des événements. Ou alors, il faudra bientôt montrer patte blanche à chaque phrase et afficher son mépris ou sa détestation du mal en bandoulière pour ne pas être soupçonné de mauvais penchants. Et tout le monde n’écrira plus, donc ne pensera plus, que des choses ennuyeuses et édifiantes. Dans son refus de céder au chantage à l’émotion, il finit par faire preuve d’une certaine insensibilité, qu’il revendique d’ailleurs, et que je déplore pour ma part. Cependant, beaucoup de gens ont été sincèrement troublés par cette phrase, il faut donc l’expliquer. À ce moment de la discussion, nous parlions de la psychiatrisation des terroristes pour éviter toute connexion avec l’islam radical, on les décrit comme des abrutis, des cas sociaux, des déséquilibrés. Ce que dit Zemmour, c’est que, pour les combattre, il faut les prendre au sérieux et que c’est en sous-estimant nos ennemis qu’on perd les guerres. Alors, dans son refus de céder au chantage à l’émotion, il finit par faire preuve d’une certaine insensibilité, qu’il revendique d’ailleurs, et que je déplore pour ma part. Je ne vois toujours pas ce que ça a à voir avec les tribunaux. Dans un autre registre, que pensez-vous de cette phrase, prononcée par François Mitterrand le 8 mai 1995 à Berlin, pour le cinquantenaire de la victoire sur l’Allemagne Je ne suis pas venu souligner la défaite, parce que j’ai su ce qu’il y avait de fort dans le peuple allemand, ses vertus, son courage, et peu m’importe son uniforme, et même l’idée qui habitait l’esprit de ces soldats qui allaient mourir en si grand nombre. Ils étaient courageux. Ils acceptaient la perte de leur vie. Pour une cause mauvaise…». Je trouve cette phrase bien plus choquante encore que celle de Zemmour, mais on ne peut pas plus accuser Mitterrand d’apologie du nazisme qu’accuser Zemmour d’apologie du terrorisme. Zemmour affirme également C’est en partie la grandeur de cette civilisation que de résister au diktat consumériste». Il ne fait pas l’apologie du terrorisme, mais déplore le matérialisme et la fin de la transcendance en Occident. Sur le fond sa position n’est pas très éloignée de celle de Muray dans Chers Djihadistes…, écrit après le 11 septembre. Zemmour observe en quelque sorte que l’Occident à bout de souffle doit affronter une culture» en l’occurrence l’islam djihadiste certes détestable, mais offensive, sûre d’elle et pour laquelle des gens acceptent de mourir. Muray compare pour sa part les djihadistes à des éléphants entrant dans un magasin de porcelaine dont les propriétaires ont déjà tout saccagé. En clair, nous n’avons pas besoin d’eux pour détruire ce que nous sommes, nous le faisons très bien tout seuls. Et il conclut Nous vaincrons. Parce que nous sommes les plus morts.». En pointant nos faiblesses, et donc, par contraste, la force de nos adversaires, ne se livre-t-il pas à une apologie du terrorisme? Pour autant, sur la résistance au diktat consumériste que véhiculerait l’islam radical, Zemmour se fourre le doigt dans l’œil, il suffit de voir ces tueurs faisant des selfies, ces assassins narcissiques, pour s’en convaincre. Car Muray et lui ont tendance à oublier que les bienfaits de la société libérale ne se réduisent pas aux Nike. Si on nous attaque, c’est en partie à cause de la liberté d’expression qui a cours chez nous. Ayons la décence de ne pas la sacrifier! l’accolage des signifiants Zemmour » et Gaulois » est en lui-même une définition de la France. Une nation que l’on rejoint, comme le dit Alain Finkielkraut; Finalement, les néo-réacs» n’ont pas gagné la bataille des idées… Rome ne s’est pas défaite en un jour l’auto-plagiat est autorisé, non?. On sent que les forteresses de la pensée dominante vacillent et que le camp autoproclamé progressiste est sur la défensive, mais dans les médias, il a plus que de beaux restes, il est toujours aux manettes. Tant mieux, c’est plus stimulant d’être dans l’opposition, regardez ce que cinquante ans d’hégémonie intellectuelle ont fait à la gauche! En tout cas, n’ayez pas d’inquiétude si les néo-réacs» devaient gagner la bataille des idées on trouverait de multiples sujets de discorde entre nous. Eh oui, c’est ainsi qu’un petit séfarade ou un petit corse peuvent devenir de grands Français. Votre numéro s’intitule Zemmour le Gaulois». Est-ce une manière de signifier que le terme désigne une appartenance que tout le monde peut s’approprier? Y compris des juifs séfarades dont les ancêtres ne parlaient que l’arabe et des musulmans? On ne saurait mieux dire. En effet, l’accolage des signifiants Zemmour» et Gaulois» est en lui-même une définition de la France. Une nation que l’on rejoint, comme le dit Alain Finkielkraut en insistant sur ce beau verbe, en adoptant son histoire, sa langue et sa culture. Eh oui, c’est ainsi qu’un petit séfarade ou un petit corse peuvent devenir de grands Français. Et c’est ainsi que des milliers de musulmans sont devenus des Français comme vous et moi. Ce que je reproche à Eric, c’est d’avoir renoncé à ce logiciel républicain qui a fait de lui ce qu’il est. Il voit l’islam et la France comme deux totalités immuables qui s’entrechoquent depuis des siècles. Et l’islam est, nous dit-il, une culture close parce que le Coran est incréé. Mais il est incréé pour ceux qui y croient, et cette croyance est un objet historique que l’histoire peut changer. Zemmour revendique un certain essentialisme, mais on ne peut pas être essentialiste et historien, il faut choisir. Paradoxalement cet amoureux de l’Histoire a une vision totalement des-historicisée de l’Islam. Et que vous dit votre vision historique? Que tout va bien et que l’islam est en voie de sécularisation? Non je laisse cela aux sociologues! Pour le présent, malheureusement Zemmour n’a pas tort l’assimilation n’est plus qu’un souvenir, l’intégration régresse et on découvre que s’est créée en France une contre-société musulmane hostile à la société française et à son mode de vie. Bien sûr, elle ne rassemble pas tout l’islam. Reste que, dans de nombreux territoires, l’islamisation n’est plus une menace mais une réalité. Il faut un blindage idéologique sacrément performant pour ne pas voir que le multiculturalisme est en faillite partout – comme en témoigne le passionnant reportage de Daoud Boughezala à Aubervilliers que nous publions. Cependant, je suis convaincue qu’il y a une politique que nous n’avons jamais tentée, qui consiste à réfléchir collectivement pour établir clairement nos exigences minimales en termes d’acculturation. Je sais, c’est plus facile à dire qu’à faire, mais le respect passe par la vérité. Disons-nous les choses qui fâchent, distinguons les différences qui nous enrichissent de celles qui nous font régresser. Contrairement à Eric, je crois encore que la France, si elle le voulait, pourrait être une chance pour l’islam en l’obligeant à ouvrir les chantiers intellectuels fermés depuis des siècles. Zemmour a cessé d’être républicain pour devenir identitaire. Je crois qu’avant de renoncer, il faudrait au moins essayer la République! La France périphérique, comme Zemmour, pense que son identité est menacée de disparition et se bat, dos au mur, pour la défendre. En le lisant et en l’adulant. Zemmour est également un gaulois car il est le meilleur représentant de la France périphérique, celle des perdants de la mondialisation dont la nation est le dernier bien … Vous voulez dire un gaulois» au sens des quartiers – sens bien plus ethnique que celui de Sarkozy, qui a pourtant fait scandale? Il représenterait ce qu’on appelle les petits blancs» – dont beaucoup ne sont d’ailleurs, ni petits ni blancs. D’après Guilluy, cette France périphérique, qui regroupe les anciens prolos et la classe moyenne plus ou moins déclassée ou en voie de l’être, représente 60 % de la population. Et la nouveauté de l’époque, dit-il, c’est que l’économie mondialisée, celle qui est concentrée dans les grandes métropoles, fonctionne parfaitement sans elle. Le signifiant France est en quelque sorte le dernier fil qui la relie à l’Histoire. Tenue à l’écart des grands mouvements économiques, dénoncée comme une entrave à la glorieuse marche du Progrès, menacée de devenir culturellement minoritaire, elle voit de surcroît ceux qui la gouvernent s’attacher à détruire ce à quoi elle tient. Alors elle pense, comme Zemmour, que son identité est menacée de disparition et se bat, dos au mur, pour la défendre. En le lisant et en l’adulant. On peut aimer la culture de ses ancêtres et être un bon Français ! Vous reprochez à Eric Zemmour d’essentialiser l’islam. Même si bien des personnes de confession ou d’origine musulmane ne se sentent nullement ennemies de la France et ne se comportent pas comme telles, l’islam en tant que programme politique et que corps de règles juridiques et sociologiques n’est-il pas en contradiction avec le passé chrétien de la France et son actuelle sécularisation? Encore une fois, de mon point de vue et du vôtre quand vous m’interrogez, l’Islam est une création his-to-rique! J’admets que cette création ne facilite pas spontanément la libre discussion et l’esprit critique. Cependant, si des musulmans veulent faire dire à leur texte autre chose que ce qu’il dit, ils peuvent le faire et ils peuvent appeler islam» quelque chose qui ne ressemblera pas du tout à ce que nous connaissons aujourd’hui sous ce nom. Mais leur demander de renoncer, non seulement à une partie du référent, mais aussi au signifiant, c’est exiger un reniement symbolique qui n’est pas nécessaire. Ce ne sont pas des manières. On peut aimer la culture de ses ancêtres et être un bon Français! L’histoire de France peut se lire comme une série de guerres civiles fondatrices». Craignez-vous la guerre civile que prédit Zemmour? Je sais que l’Histoire est tragique, je sais que nous vivons un choc des civilisations à plus ou moins bas bruit, mais non, je n’arrive pas à croire qu’il faille en arriver là. D’aucuns me trouveront naïve. Zemmour dirait, pour m’enrager c’est parce que tu es une fille – les filles viennent de Vénus, et les garçons de Mars tout le monde sait ça. Non, Zemmour se trompe et mon cher Muray aussi nous vaincrons parce que nous sommes les plus libres. Source Article from Lévy La phrase de Zemmour me choque, mais la liberté c’est pouvoir être choqué – Le FigaroSource France – Google Actualités
8février 2016E. Lévy : "Pour une partie des immigrés, c’est un monde égalitaire qui est insupportable" ( , 5 fév. 16) 6 février 2016"2016 : la bonne année ? L’urgence est à la prise de conscience" (E. Lévy, Causeur, jan. 16) 17 janvier 2016"Il est minuit, la France s’éveille" (E. Lévy, Causeur, déc. 15) A l’occasion de la sortie du dernier numéro de Causeur, France inter aux Français! », Elisabeth Lévy a accordé un entretien fleuve au FigaroVox. Elle dénonce les “sermons du clergé médiatique” et revient également sur le traitement médiatique de la campagne de Donald Trump et des primaires. Elisabeth Lévy est journaliste et directrice de la rédaction de Causeur. Dans son numéro de novembre le magazine dénonce la privatisation idéologique de France Inter». Le dernier numéro de Causeur s’intitule, France Inter aux Français!» Vous aviez un compte personnel à régler avec la radio publique? Qu’est-ce qui vous énerve autant sur France Inter ? Rien de personnel, rassurez-vous, même si pour des millions de gens quotidiennement ridiculisés, insultés ou caricaturés sur la radio qu’ils payent de leurs deniers, c’est finalement assez personnel. Se faire engueuler à ses frais, ça peut finir par énerver. Je sais, cela semble mesquin de rappeler que Radio France est financée par la redevance, cela suscite toujours chez ses dirigeants des réactions agacées, comme si on avait proféré une incongruité ou une chose vraiment vulgaire pas d’argent entre nous. N’empêche, il y a là un véritable scandale et le plus scandaleux est qu’il n’y ait pas de scandale. Plus personne ne proteste contre ce que Fabrice Luchini avait appelé avec drôlerie l’idéologie francintérienne, que Stéphane Guillon avait parfaitement résumée dans sa dernière chronique, avant de se faire remercier France Inter est une radio de gauche qui se comporte comme une véritable entreprise de droite», avait-il pleurniché. Voilà la vision du monde que propage notre radio publique, en particulier dans ses tranches d’information mais pas seulement. D’un côté il y a les gentils, de l’autre les méchants. Les gentils lisent Mediapart, les méchants Valeurs actuelles, les gentils sont Mariage pour tous, les méchants Manif pour tous. Les gentils votent Mélenchon ou PS tendance frondeurs, les méchants Le Pen ou LR tendance Sarkozy. Les gentils aiment l’Autre, les méchants aiment les frontières. Les gentils aiment Nuit Debout, les méchants aiment Finkielkraut. Je vous laisse compléter… Ils sont de gauche, c’est ça le scandale? La belle affaire… Désolée, je ne vois vraiment pas pourquoi l’argent public financerait une radio aussi ouvertement idéologique. Et je serais tout aussi énervée si notre radio publique était Radio Réac, même si la qualité du français y serait peut-être meilleure. Moi je veux du choc des idées, de la bagarre, de l’affrontement à la loyale. Que des journalistes, humoristes, producteurs et animateurs de France Inter soient de gauche», fort bien, de nos jours c’est très vintage et c’est bien leur droit, le problème est qu’ils le soient presque tous. […] Vous pouvez dire ce que vous voulez ça marche! Avec les résultats publiés hier, France Inter caracole en tête des radios généralistes ! Oui je sais, mais qui vous a dit que moi, la France, je me payais une radio pour qu’elle fasse de l’audience ? Tant mieux si elle en fait, j’en suis ravie, mais ce n’est pas ça qui est écrit dans le contrat cette radio doit m’informer, m’éduquer et me distraire, c’est marqué, pas me sermonner, m’engueuler et me rééduquer. […] Qu’avez-vous pensé du traitement médiatique de l’élection américaine. La victoire de Donald Trump est-elle aussi la défaite des médias ? La défaite des médias ne tient pas au fait qu’ils n’avaient pas prévu l’élection de Donald Trump ils le pouvaient d’autant moins la prévoir qu’il a obtenu moins de voix que son adversaire. La défaite des médias tient au fait qu’on ne les écoute plus. Voilà des années que, collectivement et systémiquement, ils agissent comme le Quartier général de la pensée dominante et qu’ils tentent, bien au-delà de France Inter, de rééduquer des masses de plus en plus rétives à leurs sermons. […] Le Figaro Tousles matins à 8h15, le regard libre d'Elisabeth Lévy dans le Grand Matin Sud Radio. Élisabeth Lévy : "Zemmour et Mélenchon ? C'est l'esprit des lumières qui a gagné". Élisabeth Lévy a 11 août 2022 À la Une, Politique La femme du président Zelensky, Olena Zelenska, était interviewée par Darius Rochebin sur LCI hier soir. Elle a répété les propos habituels de son mari sur l’imminence d’une menace nucléaire» et se déclare surprise du peu de réactions» de la part des Occidentaux. Or, il est clair que cette soi-disant menace n’est pas sérieuse au niveau des probabilités et que cela constitue plus un moyen pour les Occidentaux d’agiter les peurs, comme ils l’ont fait pour le Covid-19. Retrouvez l’intervention d’Olena Zelenska — LCI LCI August 9, 2022 -Dissident Officiel
\n elisabeth lévy qui est son mari

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Quai de Paris n° 8 – III 80 Blondel, P 500 puis section 57 parcelle 25 cadastre Reconstruite en 1860 par le menuisier Frédéric Charles Mertel et le maçon François Antoine Mertz, co-propriétaires Façade en briques rouges – Etages au même niveau que la maison voisine, linteaux ornés de mascarons au premier étage et de moulures aux étages supérieurs août 2022 – Etages vers l’impasse du Jardin-aux-Roses août 2022 La maison longe le canal intérieur des Faux-remparts et s’ouvre au fond de la ruelle du Jardin-aux-Roses. Elle est inscrite aux noms de Jean Metzger de Wangen et de Jonas Metzger de Westhoffen dans le Livre des communaux 1587 la longueur de l’encorbellement 15 pieds ½ doit correspondre à celle de la façade. Les héritiers Metzger la vendent en 1633. Elle appartient au cocher puis appariteur Urbain Müller et doit revenir à la petite-fille de sa femme, Barbe Sonnet. Les experts estiment la maison à la somme de 137 livres à la mort du cordonnier Jacques Münch en 1729. Son fils Philippe Jacques Münch doit y avoir fait d’importants travaux puisqu’elle est estimée à plus du double 325 livres à sa mort en 1741. Ses héritiers la vendent au tisserand Gabriel Noblot venu de Héricourt mais elle est rachetée après sa mort par la fille de Philippe Jacques Münch et son mari Jean David Gütel. La maison comprend un logement au rez-de-chaussée, un autre à l’étage et deux chambres au-dessus. Le tisserand Georges Michel Kohler l’achète en 1794, elle revient à son petit-fils Georges Guillaume Nicolas qui est poursuivi par ses créanciers en 1850. La maison est la partie droite du deuxième bâtiment en haut à gauche Plan-relief de 1725 Musée historique, cliché Thierry Hatt Elévations préparatoires au plan-relief de 1830, îlot 44, cour H correspondant à l’impasse – Cour E après la création de la rue de la Gare, 1861 Musée des Plans-relief 1 L’Atlas des alignements années 1820 mentionne une maison à rez-de-chaussée en maçonnerie, deux étages en bois et un encorbellement. Sur les élévations préparatoires au plan-relief de 1830, la façade est la moitié droite de la maison 1-2 porte et fenêtre au rez-de-chaussée, deux étages dont les fenêtres sont irrégulièrement disposées, toiture à trois niveaux de lucarnes. En 1861, l’arrière impasse du Jardin-aux-Roses se trouve à gauche de 2 porte et une fenêtre à chacun des trois étages. La maison porte d’abord le n° 6 de la rue du Jardin-aux-Roses 1784-1857 puis le n° 8 du quai de Paris. Cession de mitoyenneté, 1858 M° Lauth 7 E 57. 4, 116 Antoine Rohmer achète en 1856 un terrain de la Ville quand elle ouvre la rue de la Gare. Il cède la mitoyenneté du mur à son voisin Jacques Bilger qui fait reconstruire sa maison actuel 7, quai de Paris. Il vend la maison au menuisier Frédéric Charles Mertel et au maçon François Antoine Mertz qui la démolissent en 1859 et en reconstruisent une nouvelle en 1860, ce qui en porte le revenu de 49 à 147 francs. Le restaurateur Antoine Trœstler ouvre en 1895 des chambres d’hôtel. L’hôtel à la Ville de Colmar devient en 1959 Au Beau Site et le restaurant Le Bidule puis le Club 1900. Le sous-sol est creusé d’un mètre en 1968 pour y aménager une nouvelle salle. Nouvelle devanture, 1969 dossier de la Police du Bâtiment – Porte vers l’impasse août 2022 août 2022 Sommaire Cadastre – Police du Bâtiment – Relevé d’actes Récapitulatif des propriétaires La liste ci-dessous donne tous les propriétaires de 1599 à 1952. La propriété change par vente v, par héritage ou cession de parts h ou encore par adjudication adj. L’étoile * signale une date approximative de mutation. Jean Metzger de Wangen et Jonas Metzger de Westhoffen 1633 v Martin Weber, cuisinier puis aubergiste, et 1593 Marie Gartner – luthériens 1634 v Urbain Müller, cocher puis appariteur, et 1605 Marguerite Graseck, veuve du maçon Sébastien Gloss Glock, Sonnet – luthériens héritier Cyriaque Sonnet, maçon puis sacristain, et 1612 Barbe Kremmel – luthériens Aumône Saint-Marc 1687 v Jacques Münch, tisserand, et 1684 Barbe Fischer puis 1719 Marie Elisabeth Schultheiss – luthériens 1729 h Philippe Jacques Münch, tisserand, et 1721 Marie Marguerite Baur – luthériens 1761 h Gabriel Noblo, tisserand, et 1744 Anne Barbe Neumann – luthériens 1781 h Gabriel Noblo, tisserand, et 1780 Anne Madeleine Lutz, – luthériens 1786 v Jean David Gütel, cordonnier, et 1756 Marguerite Salomé Münch – luthériens 1794 v Georges Michel Kohler, tisserand, et 1785 Marie Salomé Gœnner – luthériens 1825 h Georges Guillaume Nicolas, menuisier, et 1814 Marguerite Salomé Kohler 1831 h Georges Guillaume Nicolas, menuisier, et 1843 Marie Acher 1850 adj Daniel Heydel fils de Frédéric, jardinier cultivateur, et 1814 Salomé Heydel 1851 v François Antoine Rohmer, tourneur, et 1843 Marie Madeleine Elisabeth Schell 1859 v co-propriétaires Frédéric Charles Mertel, menuisier, et 1846 Marie Catherine Münch François Antoine Mertz, maçon, et 1839 Dorothée Halbwachs 1863 v Antoine Trœstler, restaurateur, et 1863 Anne Marie Turnreitter 1898* v Etienne Henri Schott, cuisinier 1899* v Emile Scheyen, banquier à Obernai 1903* v Michel Arbogast, restaurateur, et Caroline Arbogast 1920* v Frédéric Gœrich, commerçant à Wœrth, et Marguerite Wodli 1927* v Charles Adloff, hôtelier et son épouse née Fischer Valeur de la maison selon les billets d’estimation 150 livres en 1718, 137 livres en 1729, 325 livres en 1741 et 400 livres en 1773 1765, Liste Blondel III 80, Gabriel Nobloch Etat du développement des façades des maisons, AMS cote V 61, Maisons Situées dans un Cul de Sac fermé par une porte 1843, Tableau indicatif du cadastre P 500, Nicolas, Georges Guillaume, menuisier – maison, sol, cour – 0,53 Livres des communaux 1587, Livre des communaux VII 1450 f° 280-v Jean Metzger de Wangen et Jonas Metzger de Westhoffen règlent 6 sols 4 deniers pour leur maison au fond d’une ruelle au Jardin aux roses, à savoir un encorbellement 15 pieds ½ de long, saillie de 4 pieds, une porte de cave 7 pieds de large, saillie de 4 pieds ½, en outre une avance audit encorbellement 15 pieds ½ de long, saillie de 10 pouces Beim Roßgartten Metzger Hanß Zu Wangen und Metzger Jonas Zu Westhoffen haben zu hinderst am Ortt In einem Gäßlin Im Roßgartten ein Hauß daran ein Vsstoß xv+ schu lang, iiij schu herauß, Item ein Offene Kellerthüer vij schu breÿt, v= schu herauß, Auch ane dem gemeltten Vsstoß ein Staucher xv+ schu lang, x Zoll herauß, Bessert für das Niessen, vj ß iiij d. Description de la maison 1718 billet d’estimation traduit La maison qui a une cave voûtée est estimée avec ses appartenances et dépendances à la somme de 300 florins 1729 billet d’estimation traduit La maison comprend plusieurs poêles, chambres, chambre à soldats, cuisine, petit vestibule, petite cuisine, petite cave voûtée, elle est estimée avec ses appartenances et dépendances à la somme de 275 florins 1741 billet d’estimation traduit La maison comprend au rez-de-chaussée un petit poêle, une petite cuisine et un vestibule, une cave voûtée, à l’étage un poêle, cuisine et vestibule, au-dessus deux chambres dont une pour les soldats, un très vieux comble couvert de tuiles creuses, pignon en bois clos en planches, estimée avec appartenances et dépendances à la somme de 650 florins 1773 billet d’estimation traduit La maison comprend deux poêles, deux cuisines et une chambre, le comble est couvert de tuiles plates, la cave est voûtée, estimée avec ses appartenances et dépendances à la some de 800 florins Atlas des alignements cote 1197 W 37 Atlas des alignements, 1° arrondissement ou Canton ouest – Rue du Jardin aux roses nouveau N° / ancien N° 10 / 6 Kohler Rez de chaussée en maçonnerie et 2 étages en bois médiocres et avance Légende Cadastre Cadastre napoléonien, registre 28 f° 132 case 2 Nicolas, Georges Guillaume, Menuisier Heydel Daniel substitution pour 1851 Rohmer François Antoine, jardin aux roses 6 1853 P 500, maison et cour, sol, rue du jardin des roses 6 Contenance 0,55 Revenu total 49,37 49 et 0,29 Année d’entrée Année de sortie 1861 Ouvertures, portes cochères, charretières portes et fenêtres ordinaires 12 fenêtres du 3° et au-dessus 4 P 1553 sol de maison Contenance 0,15 Revenu total 0,08 Folio de provenance Aug Folio de destination Année d’entrée Année de sortie 1858 Cadastre napoléonien, registre 22 f° 738 case 1 Rohmer François Antoine 1861 Mertz Antoine architecte et consorts faubourg de Pierre 16 1865 Troestler Antoine, restaurateur 1890/91 Troestler Anton und Troestler Anton Koch in Habsheim 1896/97 Troestler Anton in Münster 1898/99 Schott Stephan Heinrich Koch 1899/1900 Scheyen Emil Bankier in Oberehenheim 1903 Arbogast Michael Gastwirt u. Ehefr. Karolina geb. Arbogast in Habsheim in GG ancien f° 486 P 500, maison, sol, Quai Kellermann / de Paris 8 Contenance 0,55 Revenu total 49,37 49 et 0,37 Folio de provenance 132 Folio de destination Demolie – Sol Gb Année d’entrée Année de sortie 1861 Ouvertures, portes cochères, charretières portes et fenêtres ordinaires 12 fenêtres du 3° et au-dessus 4 P 1553 sol, P 500 Contenance 0,70 0,55 et 0,15 Revenu total 147,37 47 et 0,37 Folio de provenance Folio de destination Gb Année d’entrée NB Année de sortie 1863 Ouvertures, portes cochères, charretières portes et fenêtres ordinaires 16 fenêtres du 3° et au-dessus 15 1861, Diminutions – Rohmer Antoine f° 486, P 500, maison, revenu 49, démolie en 1859, supp. en 1861 1863, Augmentations – Mertz Antoine & consorts f° 486, P 500, maison, revenu 147, construction nouvelle, achevée en 1860, imposable en 1863, imposée en 1863 Cadastre allemand, registre 31 f° 299 case 4 Parcelle, section 57, n° 25 – autrefois P 500, N Canton Pariserstaden Hs N° 8 / Neuweilerhofstaden Désignation Hf, Whs Contenance 0,63 Revenu 2100 – 2500 – 1500 Remarques 1910, Berufung Propriétaire, compte 1746 Arbogast Michael u. Ehefrau 1920 Goerich Friderich Kaufmann in Woerth und Ehefrau Margaretha geb. Wodli 1927 Adloff Charles hôtelier et son épouse née Fischer 1946 Adloff Charles sa veuve née Fischer ½, Adloff Paul Fernand ½ 550 1789, Enquête préparatoire à l’Etat des habitants cote VII 1295 Canton 3, Rue du Jardin aux Roses 59 6 Loc. Kohler, Georges Michel, Tisserant – des Drapiers Loc. Fleischmann, cordier – de la Morisque Loc. Wickin, veuve de Jean Adam – de la Morisque 1789, Etat des habitants cote 5 R 26 Canton III, Rue 59 Jardin aux Roses p. 129 6 Lo. Kohler, Georges Michel, Tisserant – Drapiers Lo. Fleischmann, cordier – Moresse Lo. Wickin, veuve – Moresse Annuaire de 1905 Verzeichnis sämtlicher Häuser von Strassburg und ihrer Bewohner, in alphabetischer Reihenfolge der Strassennamen Répertoire de toutes les maisons de Strasbourg et de leurs habitants, par ordre alphabétique des rues Abréviations 0, 1,2, etc. rez de chaussée, 1, 2° étage – E, Eigentümer propriétaire – H. Hinterhaus bâtiment arrière Pariserstaden Seite 130 Haus Nr. 8 Hotel Zur Stadt Colmar, Arbogast, Wirt 01 Dossier de la Police du Bâtiment cote 795 W 138 Quai de Paris 8 dossier I, 1874-1979 Le restaurateur Antoine Trœstler demande en 1895 l’autorisation d’exploiter un hôtel. Neuf chambres se trouvent au deuxième étage, au troisième étage et aux mansardes. Le sieur Schott est autorisé en 1897 à exploiter un débit de boissons, repris en 1899 par le restaurateur Frédéric Grimm hôtel à la Ville de Colmar, en 1902 par Michel Arbogast et en 1919 par Frédéric Gœrich. Les tenanciers ultérieurs sont Robert Jenny 1920, Charles Adloff 1925 qui fait aménager en 1934 une chaufferie au sous-sol sous la direction de l’architecte A. Strohmeyer puis sa veuve et Roger Albert 1938. Le bâtiment est sinistré par fait de guerre. L’enseigne A la ville de Colmar devient en 1959 Au Beau Site, exploité par une société à responsabilité limitée. Le pétitionnaire est la Beau Site, et le restaurant Le Bidule. La tenancière est Marie-Marguerite Patouret née Pfalzgraf en 1962. Marie-Louise Nydegger Club 1900 qui ne remplit pas les conditions pour être autorisée à exploiter l’établissement fait transformer la devanture. L’établissement est dirigé par Willy Flubacher 1965, Gilbert Stroh 1966. Marie-Louise Nydegger étend en 1968 le débit de boissons Club 1900 et l’hôtel Beau Site au sous-sol qui est creusé d’un mètre. Le Club 1900 est autorisé en 1974 à ouvrir de nuit. Sommaire 1874 – Le commissaire de police autorise l’entrepreneur en bâtiment Weyer à ravaler la façade du 8, quai de Paris au nom du restaurateur Antoine Trœstler. L’avis est transmis à l’ingénieur d’arrondissement Pfersdorff et à l’agent-voyer Ruppert 1884 – Le commissaire de police Feichter informe Gustave Herrmann que l’ingénieur d’arrondissement a autorisé les travaux à faire sur le pavage pour raccorder la maison sise 8, quai de Paris aux canalisations d’après l’ordonnance du 22 janvier 1863. 1886 – Le maire notifie Antoine Trœstler de faire ravaler le 8, quai de Paris. Travaux terminés, octobre 1886 1896 – Dossier ouvert par la mairie suite à la demande d’A. Trœstler d’exploiter un hôtel. – Rapport. Les neuf chambres se trouvent au deuxième étage, au troisième étage et aux mansardes. Leur hauteur est respectivement de 3,30 mètres deuxième et troisième étages et 2,60 mètres mansardes. Les chambres donnent dans la cage d’escalier, elles ont une ou deux fenêtres vers le quai ou vers la cour mais pas de fourneau. Il y a des cabinets d’aisance à chaque étage. Le rapport final mentionne que les chambres du premier étage prennent le jour sur la cage d’escalier. 1897 – Dossier ouvert par la mairie suite à la demande du sieur Schott d’exploiter un débit de boissons – Des travaux sont en cours, mars. Les fourneaux de la salle de débit sont posés sur une plaque de fer au lieu d’une dalle en pierre. Les cabinets d’aisance sont pourvus d’une chasse d’eau. On a remédié aux défauts relevés le 24 décembre 1896, notamment dans les trois chambres du deuxième étage. 1899 – La Police du Bâtiment constate que le restaurateur Frédéric Grimm a posé sans autorisation une enseigne perpendiculaire – Demande – Autorisation. L’enseigne n’est qu’à 2,70 mètres du sol au lieu de trois mètres. Il est cependant difficile de la fixer à la hauteur prescrite. Croquis l’enseigne est suspendue au bras de la lampe qui se trouve à 3,40 mètres du sol – L’inspecteur propose d’accorder une dérogation mais la Police du Bâtiment demande au propriétaire de se conformer au règlement. – Frédéric Grimm demande une dérogation qui lui est refusée. – L’enseigne a été rehaussée, mars 1900. 1902 septembre – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Michel Arbogast demande l’autorisation d’exploiter une brasserie. – Rapport. La cuisine se trouve à l’arrière de la salle, la partie arrière est couverte d’un toit vitré à nettoyer. 1902 juillet – Le maître maçon Xavier Matter 9, rue des Lentilles demande l’autorisation d’aménager une descente pour les tonneaux – Dessin – Travaux terminés, septembre 1902. 1902 septembre – Le peintre Jacques Ruch de Bischheim demande l’autorisation de poser un échafaudage sur la voie publique. Le commissaire de police transmet la demande au maire – Autorisation – Travaux terminés, octobre Commission contre les logements insalubres. 1900, Hôtel à la Ville de Colmar. La cuisine et les cabinets d’aisance du rez-de-chaussée sont sombres et doivent être réparés. Le maire envoie un courrier à Frédéric Grimm. Le propriétaire est le banquier Scheurer d’Obernai 1903 – La maison y compris les cabinets d’aisance sont raccordés aux canalisations 1915 – Commission des logements militaires. Remarques en six points dont trois à exécuter après la fin de la guerre. Les travaux urgents sont faits, février 1916. 1919 septembre – Dossier ouvert suite à un courrier de la Division II. Frédéric Gœrich demande l’autorisation de continuer à exploiter le débit de boissons. – Rapport. Les locaux comprennent une salle de débit, la cuisine, un urinoir et des cabinets d’aisance au rez-de-chaussée, trois chambres et un cabinet au premier étage. La porte d’entrée s’ouvre vers l’intérieur et non vers l’extérieur. Liste en cinq points de travaux à faire. Les locaux sont conformes aux prescriptions ministérielles du 24 mars 1890, aux observations près. 1919 décembre – Frédéric Gœrich hôtel à la Ville de Colmar déclare avoir acquis l’hôtel de son prédécesseur Arbogast à compter du premier septembre 1919. La concession lui a été accordée sous différentes conditions, dont celle de plâtrer la cuisine et la cage d’escalier. Il demande un an de délai pour des raisons financières, les autres travaux ayant été exécutés. 1920 août – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Robert Jenny demande l’autorisation d’exploiter le débit de boissons à la Ville de Colmar. – Même rapport, en outre une chambre et un cabinet d’aisance au deuxième étage, une chambre au troisième étage, des chambres de service aux mansardes. La hauteur des locaux correspond aux prescriptions ministérielles du 24 mars 1890 sauf la cuisine de 2,20 à 2,50 au lieu de 2,80 mètres. Liste en six points de travaux à faire 1925 – Dossier ouvert suite à un courrier du commissaire de police. Charles Adloff, demeurant à Wasselonne, demande l’autorisation d’exploiter le débit de boissons et l’hôtel. Liste en quatre poins de travaux à faire. 1931 – Charles Adloff demande l’autorisation de poser un store – Autorisation de poser un volet roulant. 1934 – La brasserie à l’Espérance de Schiltigheim, anciennement Ph. Hatt demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse en verre à l’entrée du restaurant – Autorisation l’enseigne est déjà posée. Dessin ancre 1934 – Le restaurateur Charles Adloff demande l’autorisation d’aménager une chaufferie au sous-sol sous la direction de l’architecte A. Strohmeyer 47, rue de Rathsamhausen – Dessins – Travaux terminés, août 1934 1938 – La Police du Bâtiment constate que Mme Charles Adloff 8, quai de Paris a posé sans autorisation une enseigne lumineuse vers l’impasse du Jardin-aux-Roses – Demande – Autorisation, mars 1938 1938 août – Charles Adloff est mort, son successeur est Roger Albert. Les enseignes sont mises à son nom. 1939 – Le peintre Jacques Wawerinitz 48, rue du Faubourg de Pierre paie des droits pour avoir repeint la façade. 1940 novembre – Le même demande l’autorisation de peindre l’enseigne Hotel zur Stadt Kolmar, Wein, Hoffnungbier, Liköre au 8, quai de la cour de Neuwiller – La Police du Bâtiment constate que la veuve Adloff a fait faire inscription non pas sur le mur mais sur un panneau plat, ce qui est contraire au nouveau règlement. – Le panneau a été retiré, février 1941. 1946 – L’immeuble sinistré est exempt de droit de voirie 1950 – Plainte. Les locataires du 3, rue du Marché seraient incommodés par les fumées provenant d’une cheminée du 8, quai de Paris – La Police du Bâtiment conclut que la plainte n’est pas fondée, les fenêtres se trouvant à plus de dix mètres des fenêtres et la cheminée étant suffisamment haute. 1959 – L’entreprise A. Rossin 15, rue Maurice Muller à Bischheim est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique 1959 – Le préfet demande une enquête de conformité concernant le débit de boissons Au Beau Site, anciennement A la ville de Colmar. Le pétitionnaire est la Beau Site, représentée par son gérant Ad. Sieffert. Le débit de boissons Au Beau Site comprend une salle de restaurant 24 m², une cuisine, des cabinets d’aisance et un urinoir. Il y a en outre dix chambres d’hôtel sur quatre étages. Les travaux de réfection sont en cours. 1959 – La brasserie de l’Espérance Ancre Pils demande l’autorisation de poser une enseigne sur lambrequin au restaurant Le Bidule, sis 8, quai de Paris – Autorisation 1962 – Le préfet demande une enquête de conformité suite à la requête de Marie-Marguerite Patouret née Pfalzgraf – Rapport comme ci-dessus, les chambres d’hôtel sont au nombre de douze. La Police du Bâtiment n’a pas d’objection à formuler. La requérante est autorisée à exploiter le débit de boissons et l’hôtel Au Beau Site acte d’acquisition du 7 décembre 1962. 1963 – La Brasserie de l’Espérance demande l’autorisation de poser une double enseigne lumineuse au restaurant Au Beau Site – L’architecte des Bâtiments de France sollicité n’émet pas d’avis puisque les immeubles ne se trouvent pas dans le rayon de visibilité d’un site protégé – Autorisation 1964 – Le préfet demande une enquête de conformité suite à la requête de Marie-Louise Nydegger – Rapport comme ci-dessus. La Police du Bâtiment n’a pas d’objection à formuler. Le préfet constate que la requérante ne remplit pas les conditions pour être autorisée à exploiter l’établissement. 1964 – Marie-Louise Nydegger Club 1900 dépose une demande de permis de construire 8, quai de Paris, section 57, parcelle 28. Plan cadastral de situation – Autorisation de transformer la façade au rez-de-chaussée, 8, quai de Paris Les travaux intérieurs sont en cours, juillet 1964. Le cadre en bois est posé sur la façade, août. Travaux terminés conformément aux plans, septembre. 1965 – Le préfet demande une enquête de conformité suite à la requête de Willy Flubacher 1, rue du Hohwald à Eichhoffen d’exploiter le débit de boissons Club 1900, anciennement Beau Site, Bidule – Les locaux comprennent une salle 33 m², des cabinets d’aisance pour hommes et pour femmes et un urinoir. 1964 – Le décorateur Pierre Drexler demande l’autorisation de poser une enseigne lumineuse – Autorisation de poser une enseigne lumineuse à double face et une enseigne murale en lettres détachées – L’autorisation est périmée sans que les enseignes soit posées. – Dessin Club 1900 1966 – Le préfet demande une enquête de conformité suite à la requête de Gilbert Stroh 35, rue de Ribeauvillé au Neudorf d’exploiter l’hôtel-restaurant au Beau Site – Le débit de boissons comprend une salle de restaurant 33 m², une cuisine, des cabinets d’aisance et un urinoir. Il y a en outre dix chambres d’hôtel sur quatre étages. La Police du Bâtiment n’a pas d’objection à formuler. 1966 – La Brasserie de l’Espérance fournit la liste des enseignes lumineuses supprimées, dont celle au 8, quai de Paris. 1966 – La Police du Bâtiment constate que le bar Club 1900 a posé sans autorisation une enseigne lumineuse à double face, un store et une enseigne murale en lettres détachées – Marie-Louise Nydegger répond que l’autorisation a été accordée deux ans auparavant et qu’elle a réglé chaque année les droits. 1967 janvier – Demande – Autorisation 1967 janvier – Le préfet autorise Marie-Louise Nydegger à exploiter l’hôtel et le débit de boissons Beau Site. 1968 – Le préfet demande une enquête suite à la requête de Marie-Louise Nydegger d’étendre le débit de boissons – L’enquête montre que le sous-sol a seulement deux mètres de haut et qu’il l’a pas d’aération directe. L’exploitation pourra être autorisée si la hauteur sous plafond est portée à trois mètres et à condition qu’il y ait un escalier et un système d’aération. 1969 – Marie-Louise Nydegger demande l’autorisation de transformer le bar – Le décorateur Steyer expose les travaux aménager le sous-sol en le creusant d’un mètre, poser deux escaliers hélicoïdaux pour desservir le sous-sol et accéder aux toilettes, déplacer l’entrée – Dessin – Le directeur départemental de l’équipement émet un avis favorable – Autorisation Déclaration d’ouverture de chantier, 25 août 1969. L’entreprise Vogt Neudorf exécute les travaux au sous-sol – Travaux terminés conformément aux plans, février 1970. 1970 juin – le préfet étend au sous-sol l’autorisation d’exploiter le débit de boissons Club 1900 et l’hôtel Beau Site au profit de Marie-Louise Nydegger 1971 – L’entreprise Tesoro et compagnie 95, route de Schirmeck est autorisée à poser un échafaudage sur la voie publique pour peindre la façade – L’entreprise ne fait pas les travaux mais reçoit un avis pour régler les droits d’occupation – La ville annule les droits indûment mandatés. 1974 – Le préfet autorise l’ouverture de nuit de l’établissement Club 1900. La commission de sécurité se rend sur place en avril 1974. Son rapport impose des travaux dans la salle au rez-de-chaussée Club 1900, au sous-sol Datscha et dans la chaufferie. La commission vérifie en septembre 1974 et constate que les travaux ne sont pas réalisés. Le préfet informe la requérante qu’elle a trois mois pour régulariser la situation sans quoi elle ne sera plus autorisée à exploiter l’établissement. La commission constate en juillet 1975 que les prescriptions sont respectées. 1979 – Les établissements Lucien Walter à Mundolsheim demandent l’autorisation de poser six stores en corbeille au nom de Marie-Louise Nydegger Club 1900 – Le maire n’accorde pas l’autorisation pour des motifs esthétiques Autres dossiers 949 W 51 – 8, quai de Paris volume II, immeuble d’habitation, commerce photographies 1979-1997 1685 W 1099 – 8 quai de Paris, ADS-DP-48209V0142. Modification vitrine [refus], 2009 1685 W 1510 – 8 quai de Paris, ADS-DP-48209V0405, transformation de façade et aménagement de restaurant VAE, 2009 Relevé d’actes La maison est inscrite au nom de Jean Metzger de Wangen et Jonas Metzger de Westhoffen dans le Livre des communaux 1587. D’après les tenants et aboutissants de la voisine, elle appartient à Jean Metzger de Westhoffen 1602 ou à l’employé de le Grue Jacques Heim 1621 qui est sans doute locataire. Les héritiers Metzger vendent en 1633 à l’aubergiste à la Cave Profonde Martin Weber la maison chargée d’un cens annuel de quatre sols au profit des nobles Pfaffenlapp de Still. 1633 25. Maÿ, Chambre des Contrats, vol. 471 f° 256-v Protocollat. fol. 77. Erschienen Diebold Burner, der ochsenwürth alß Eheuogt Agneß Metzgerin hanß Metzger für sich selbsten Johan Metzger der Jünger für sich selbsten, Ulrich Hammen alß Eheuogt Anna Metzgerin, Catharina Metzgerin, Zu einem, Item Dauid Winter alß Ehevogt Mariæ Metzgerin, innamen gemelt, vnd von wegen seiner Miterben … Vnd Dieboldt Metzger Zum andern, So dann Zum dritenteil Jonas vnd Peter die Metzger für sich selbsten, Alle von Westhofen verkaufft hanß Martin Weber, Gastgeben Zum tieffen Keller, burger Zu Str. so Zugegen, ihme hauß, hoffstat, Stall vnd gärtlin, mit allen andern ihren gebäwen & alhie im Rosengarten einseit neben H M. Johann Weinmüller Pfarrer Zu Bleßheim neben Jacob Spießen deß huetstaffierers garten hinden auff der Statt Innerngraben stoßend gelegen, dauon gehen Jarß 4 ß d bodenzinß den Edlen Pfaffenlappen von Still, sonst eÿgen, vnd were diser Kauff vber die beschwd. Zugangen per 525 fl Mariage d’une covenderesse, Agnès Metzger fille de Jean avec Thiébaut Brun Mariage, Westhoffen luth. 1622. Diebold Brun Hanß Brunnen Burgers alhier ehelicher Sohn, und Agnöß Hanß Metziger Selig gewesenen Burgers alhier hinderlaßene Tochter hielten den 18. Novembr. ihren ordentlichen Kirchgang Originaire d’Ehringen, le cuisinier Martin Weber épouse en 1593 Marie, fille du jardinier Jean Adolff Mariage, Saint-Thomas luth. f° 184 n° 562 1593. II. Trinit. Martin Weber Von Ehring., der Koch, vnd Maria hans Adolff des gartners dochter i 198 D’après l’acte ci-dessous et les baptêmes, la femme est ensuite appelée Marie Gartner 1605 xviij tag Februarÿ, Chancellerie, vol. 360 Registranda Meyger f° 81 Erschienen Martin Weber der Koch vff des herrn Ammeisters stuben burger Zu Straßburg, Vnnd Maria Garttnerin seine eheliche haußfrauw, mit beÿstandt Lux gartner des gartners burgers zu Straßburg, Vnd Cunradts Hannß Inn Ruprechtsouw desselben Luxen mütterlich halb bruder, Ihr Maria Garttnerin geschwistrige vnd nechste Verwandten … Bapt. Saint-Thomas, f° 109-v n° 694, 1598, Martin, Parent. Martin Weber d. Koch vffs herrenstub, Maria i 112 f° 147 n° 892, 1600, Elisabeth, Parent. Martin Weber d. Koch, Maria i 145 f° 177 n° 1131, 1602, Hannß Mathiß, Parent. Martin Weber d. Koch vffs herrenstub, Maria i 179 f° 215-v n° 1451, 1604, Amalia, Parent. Martin Weber Koch vffs herren Ammeÿsters Stub, Maria i 219 Martin Weber devient bourgeois par sa femme le 21 février 1594. 1594, 2° Livre de bourgeoisie 4 R 104 p. 710 Marthenn Weberr vonn Ehringenn der Koch empfangt daß burgerrecht von Marienn W. Hanß Adolffen deß garthners vnder Wagnern dochter, vnndt will Zu den garthnern vnder Waghnern dinnen, Actum den Februarÿ A° 94. Martin Weber] Martin Weber revend la maison à l’appariteur Urbain Müller et à sa femme Marguerite Graseck. 1634 5. Decembris, Chambre des Contrats, vol. 473 f° 751-v Protocollat. fol. 141. Erschienen hanß Martin Weber Würth Zum Tieffen Keller und burger alhie hatt in gegensein Urban Müllers deß Fausthammers Alhie und Margarethæ Graßeckin seiner Ehefr. verkaufft hauß und hoffstat mit Allen andern ihren gebäwen alhie im Rosengarten einseit neben weÿl. H. M. Johann Weinmüllers gewesenen Pfarrers s. Zu Bläßheim wittib, & neben Jacob Spießen deß huetstaffierers garten hinden vff der St. Innern grab. stoßend, dauon gehen 4. ß bod. Zinß den Edlen Pfaffenlappen von Still sonst eÿgen, Vnd were diser Kauff vber die beschwd. Zugangen per 387. fl. Dabeÿ gewesen Arnoldt Werbeck d. handelßmann und Zÿriax Sonnet Sigrist im Münster der Käufferin Sohn [in margine ] Erschienen H Balthasar Krauß d. älter, Metzger, alß deß Verkäuffers ehelich. Nachkomm. … Act. d. 19. Junÿ A° 1648. Originaire d’Isental ou Weissental en Moravie, le cocher Urbain Müller épouse Marguerite Graseck en 1605. L’acte de mariage porte qu’elle est veuve du garde municipal Sébastien Schultheiss, l’acte de mariage du maçon Sébastien Gloss. Comme il résulte des actes suivants notamment la vente passée en 1634 que Cyriaque Sonnet est son fils, Gloss pourrait représenter une traduction de Sonnet Glock Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune luth. f° 179 1605. Dominica Septuag. 27. Ianuari. Urban Müller von weissenthal aus dem land zu Metthen ein Gutscher Margreta graseckin, Bastian schultheiß des quardi Knechts Zinst. d. 5. Februarÿ i 94 Urbain Müller devient bourgeois dix mois après son mariage 1605, 2° Livre de bourgeoisie 4 R 104 p. 866 Urban Müller ein gautscher vonn Isenthal Im Landt Zu Meheren gelegen empfaht das B vonn Margareth graseckin Sebastian Gloßen deß Maurers wittiben Will Zun Maureren dienen, Actum 3. Decemb 605 Mariée depuis trente ans à l’appariteur Urbain Müller, Marguerite Graseck lègue à sa petite-fille Barbe Sonnet, fille du sacristain de la cathédrale Cyriaque Sonnet, 50 florins à prélever sur sa maison à l’arrière du Jardin aux Roses 1638 4. Julÿ, Chambre des Contrats, vol. 480 f° 514-v Erschienen Margretha Graßeckin, Urban Müllers deß Fausthammers und burgers Zu Straßburg eheliche Haußfraw, zwar etwaß Krancken leibs im Beth ligend, aber nichts deso weniger von den Miltreichen gnaden Gottes guten Verstandt, Sinnen und vernunfft, Wie soches auß Ihren reden und geberden genugsamb War abzunehmen, Zeigte An Demnach Sie und ihr lieber Haußwürth nunmehr vff die 30 Jahr beÿsamen ehelichen gelebt, vndt Je eins dem andern alle eheliche lieb erwÿsen, Darneben auch sie Zu ihrem Enckel Barbaræ, weÿ Ziliox Sonneten deß Sigristen im Münster alhie see dochter ein sonderbahr Großmüeterliche affection trage, Alß wolte Sie besagten ihren Hauswürth mit Wÿdemb und gedacht Enckel mit einem prælegat und Vorauß bedencken … So dann zum andern prælegirt Sie mehrgemeltel ihrem Enckel Barbaræ 50 gulden a 15 bz. vff ihrem Hauß alhie hinderm Roßgarten gelegen, Originaire de Gueberschwihr en Haute-Alsace, Cyriaque Sonnet épouse en 1612 Barbe, fille du maçon Jean Kremmel Mariage, cathédrale luth. p. 287 1612. Mehr den 10 Trinitatis. Ciriacus Sonnet der maurer vnd Barbara Hans Kremmel des maurers tochter i 147 Il devient bourgeois le 8 septembre de la même année 1612, 2° Livre de bourgeoisie 4 R 104 p. 954 Ziliox Sonnet d. Maurer Von Gebersweÿer empfahet d. von Barbara hanß Gremel deß Maurers Alhir dochter, will Zu den Maurern dienen. Acum den 8. aô 1612. Soutenu par le marguillier, Cyriaque Sonnet est autorisé à prendre des pensionnaires pour avoir davantage de revenus 1626, Protocole des Quinze 2 R 54 f° 282 Sambstags 11. – Ziriacus Sonnet Sigrist im Münster, Schlaffhauß Ziriacus Sonnet der Sigrist im Münster Erschienen vbergibt per Dr Rengern vnderthanig Supplication & Meldt seine Vorfahren haben dörffen Erliche Landleüth behergergen, pits auch ihme Zu willfahren & H Schoner Allß Kurchenpfleger & Supplicant hab schlecht seÿ sonst fleÿßig, piten bedes Pfarrherr vndt helffer vor ihnen, würdt gewiß kein liederlich gesindt aufhalten & Erkandt willfahrt, mit dem anhang kein faul gesindell aufzuhalten. Il obtient une augmentation de son salaire de sacristain 1628 Conseillers et XXI 1 R 110 Sigrist im Münster Ciriacus Sonnet, erhalt beßerung der Besoldung. 263. Les règlements ayant changé, la pension de Cyriaque Sonnet a été fermée. Il demande l’autorisation de la rouvrir, soutenu par le pasteur et le diacre. La commission d’enquête relève que le pétitionnaire a des revenus accessoires gratification lors des mariages et des baptêmes, location de la cave et vente de choucroute. Comme il résulte que ces revenus sont modestes et que Cyriaque Sonnet est soutenu par le clergé, les Quinze l’autorisent à rouvrir sa pension 1636, Protocole des Quinze 2 R 61 f° 174 Sambstag 13. August – Cÿriac Sonnet Sigrist im Münster vmb wider eröffnung seines Schlaffhauses Cÿriac Sonnet Sigrist Im Münster allhie dt per Eggen vnderth. Suppli. so von Herrn Dr Johann Schmiden hießigen Kürchen Convents Præsité, wie auch dem H. Pfarrer vndt Jetzig. helffer Im Münster vnderschrieben & pit vmb wider eröffnung sein bißher gehabten Schlaffhaußes, so Ihme durch Jüngst vorgegangene reformation aberkand,t muß sich vndt die seinigen vom Sigristen Ambt, davon Er wochentlich mehr nit Allß 8 ß vndt 6 leib brot nit Zuernehren vndt Ihne der Ansehnlichen verbott genüßen Zulaßen, hoff nit daß beÿ Ihme vngebüer vorgang. & In der Umbfrag würdt bericht, daß die behausung eng, Suppl. sich nit zu hoch beschweren, In dem Er von den hochzeiten vndt Kindttauffen gute zu empfangen, auch mit seines Kellers, Item sauren krauths Zimblich vortheil zu schöpffen wüß. Dagegen würd gedacht, d. beÿ dißen Zeiten die schlecht hergehen, sich auch am Sauren Krauth nit vil, weÿlen es vbertheür würd laßen, so seÿ Ihme auch der, vffm Frawenhauß bißher wochentlich gehabte Imbiß abgespant vndt werden seine Intercessiores nit ruwig sein, biß Ihme geholffen, es geschehe nun mit wider deß Schlaffhaußes, oder einer anderen recompens & könte auch mit den H. Pfarrern Frawen Werckhs hievon communicirt wd. Erkandt Vorige Herren es bedencken. f° 176 Mittwoch den 17. Augusti – Cÿriac Sonnet Sigrist im Münster vmb Eröffnung seines Schlaffhauses Dr Botzheim referirt, & H Frantzen, hatte beneben H Stören, Cÿriac Sonnets, des Sigristen im Münster hieob. fol. 174. einkommene supplication vmb wider eröffnung seines Schlaffhauses bedacht, vnnd darfür gehalten, das vmb der starcken fürbitt willen des geistlichkeit Ihme Zu willfahren, würde dieselbe sonst nicht rühig sein, sondern äußerst sich bemühen, biß Ihne von einer andern hafft geholffen würde, auch hetten sie hiebeÿ considerirt, das hieumben die Zahl der schlaffhäuser nicht vermehret, sondern es beÿ 13., eines weg. alß dann andern, so im verpleibens haben würde, weilen der Eine bereits von denen, so bewilligung erlangt vff sein gerechtsame verzug gethan, Sollens. Erkandt, der bedacht gevolgt, solle supplicant beÿ anzeigung des bescheids, zu favor vnnd bericht gut sorg Zu geben, annimmt* werden. Cyriaque Sonnet est dispensé des corvées 1635 Conseillers et XXI 1 R 118 f° 128-v Montags den 31. Augusti. Ciriacus Sonnet, Sigrist im Münster pd p. Kn Supplication, vmb erlaßung d. fron. Erk. ist willfahrt. Le tuteur de Barbe Sonnet demande une aide pour son alimentation. Les Conseillers et les Vingt-et-Un la recommandent à l’Eglise rouge et à l’Orphelinat jusqu’à ce qu’elle trouve un emploi 1642, Conseillers et XXI 1 R 125 f° 110 Sambstag d. 3. Septembris – Ciri Sonnets döchterlin Ciri Sonnets dochterlin Vogt hanß Schmiele, bitt Mh sie wollen es In daß Weÿsenhauß auffnemmen oder auffs wenigst. Ihme eine steuwr laßen. Erk. Soll erkundigung eingezog. werd. wie es mitt dißem weÿß vnd seiner nahrung bewandt. f° 110-v Montag d. 5. Sept. – Ciri Sonnets dochterlin H. Olter vnd H Elbe referiren, d. Ciri Sonnets dochterlin einig mittel nicht hatt Stell. Zu Mh. wo sie es hien thun wollen, Ob sie es woll. Zur Roth. Kirch. weißen oder auch Inß weißenhauß nemmen. Erk. Soll Ihro mit kleid. geholffen werd. dß m es an dem neuwen werck arbeit. biß es widerumb mag ein dienst bekommen. La maison appartient ensuite à l’aumône Saint-Marc qui la vend en 1687 au tisserand Jacques Münch. 1687 Chambre des Contrats, vol. 557 f° 138 der Wol Edel Vest fürsichtig und hochweiß H. Josias Städel, alter Ammeister und alß Pfleger deß Stiffts St. Marx für sich und im nahmen seiner herrn Mit Pflegern, mit beÿstand herrn Johann Schmid Schaffners deßelben in gegensein Jacob München deß Leinenwebers Eine behaußung und hoffstatt mit allen deren Gebäuen, zugehördten, Rechten und Gerechtigkeiten, der Gerechtigkeit der profeÿ, so in nachbemeldten Rehmischen hauß sich befindet, allhier im Thomanloch, im Roosgarten genandt, einseit neben Gießbrecht Verius dem Färber in d. Mang, anderseit neben weÿl. H. Georg Rehmen, gewes. Oberschreibers Zu St. Marx, 2. jüngsten Kindern, hinden auff d. inneren statt graben stoßend gelegen – beschehen umb 175 pfund Fils du tisserand Jean Georges Münch, Jacques Münch épouse en 1684 Barbe, fille du tisserand Gaspard Fischer contrat de mariage tel qu’il est copié à l’inventaire, célébration Copia der Eheberedung – Zwischen dem Ehrsamen und Bescheidenen Jacob München dem Ledigen Leinenweber deß Ehrengeachten Herrn Hanß Georg München deß Leinenwebers und Burgers Zu besagtem Straßburg Ehelichem Sohn, alß dem Bräutigamb ane einem, So dann Barbara Fischerin, deß Ehrengeachten Herrn Caspar Fischers auch leinenwebers und burgers Zu besagtem Straßburg Ehelicher tochter als der hochzeiterin am andern Theil … den 24. Monats tag Decembris Anno 1684. Johann Philipp Schübler Notarius Publicus Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune luth. f° 314-v 1685. Domin Ead. [Quinq. d. 4. Martÿ] Jacob Münch der leinenwäber alhier Johann Georg Münch deß burgers v. leinenwäbers alhier ehel. sohn, vndt Barbara, Caspar Fischers deß burgers vndt leinenwäbers ehl. tochter. Copul. Mont. 12. Martÿ i 329 Barbe Fischer meurt en 1718 en délaissant cinq enfants, une fille naturelle et quatre enfants du veuf. Les experts estiment la maison à 150 livres. La masse propre au veuf est de 29 livres, celle propre aux héritiers de 56 livres. L’actif de la communauté s’élève à 180 livres, le passif à 70 livres. 1718 Not. Lang Jean Régnard, 29 Not 112 n° 1014 Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen Haab Nahrung und Güethere, so Weÿland die Ehren und Tugendsahme Fraw Barbara Münchin, gebohrne Fischerin, des Ehrengeachten Herrn Jacob München, des Leinenwebers und Burgers allhier zu Straßburg, geweßene haußfrau nunmehr seel. nach ihrem Dienst. den Jan. dießes lauffenden Jahrs aus dießer welt genommenen tödl. hintritt Zeitl. verlaßen … So beschehen in Straßburg Donnerstags d. Martÿ Anno 1718. Die verstorbene Frau seel. Hat Zu Ihren Erben ab intestato verlaßen wie volgt. 1. Frau Barbaram Schöpgerin gebohrne Brodtin, Herr Joh Christoph Schöpge, des Paßmentirers und Schirms Verwanthen allhier ehel. haußfrau, welche mit beÿstand deßelben, nicht weniger des Edlen hochachtbaren und weißen Herrn Jeremiæ Joseph Titot, E E Kleinen Raths allhier jetzmahligen wohlverdienten Assessoris und aus deßelben Mittel vermög producirten Extractus vom Febr. jüngstin hierzu in specie abgerodneten Herrn, deßgleichen H Philipp Jacob Heÿers, des Schneiders und Burgers allhier dero geschwornen Theilvogts, hiebeÿ persönl. erschienen, dieße der abgeleibten Frauen seel außerhalb einig. Ehe erzeugte Tochter 2. Frau Margaretham Salome Anstethin gebohrne Münchin Herrn Sebastian Ansteths des Tabackbereiters und Burgers allhier ehel. Haußwürthin, so ebenmäßig dem geschäfft mit und beneben Ihrem Ehevogt beÿwohnte, 3. Frau Susannam Martham Waltzin gebohrne Münch, Herrn Joh Waltzen des Huthmachers und Burgers allhier Eheweib, so mit assistentz deßelben Zugegen war, 4. H Philipp Jacob München, ledigen Schumacher und 5. Johann München, Welcher beeder geschworner Vogt Herr Johann Schötteln der Leinenweber und Burger allhier, so mit und beneben seinen beeden Vogst Söhnen dem geschäfft abwartete, Also alle 5. der verstorbenen Fr. seel. erzeugte Söhn und Töchter und ab intestato Zu gleichen antheilen verlaßeen Erben. In einer allhier Zu Straßburg ane dem Thomansloch und Zwar im Rooßgarten gelegenen, in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden Wie volgt Eigenthumb ane einer Behaußung T. Eine Behaußung, sambt allen deren Zugehördt, Rechten und Gerechtig Keit, gelegen allhier Zu Straßburg in dem Thomansloch im Roßengarten genand, ein seit neben herrn Hannß Conrad Bacheberlin, dem Macklern und Burgern allhier, anderseit neben H. Gÿßbrecht Verio dem Manhmeister v. E. E. Kleinen Raths alten beÿsitzer auch burgern allhier, hinden auff den Statt graben stoßend, welche durch die Werckleuthe dißmahlen Crafft deß halben übergebenen Abschatzungs Zeduls vom 8. Martÿ A° 1718. angeschlagen worden pro 150. lb. d. Davon wider ab Zu Ziehen dasjenige Capital, so mann Löbl. Stifft Zu St Marx allhier, ane dem Kauffschilling der 175. lb annoch per Rest schuldig, und jährl. auff Annunc Mariæ mit 2. lb d Zuverzinnsen hat, thut 50. lb. Restirt also noch ane obiger abwürdigung außzuwerffen 100 lb. Darüber besagt j. perg Kbrieff mit der Statt Straßb anhang Canc Ctract Inns de dato Martÿ 1687. … ihme dem wittiber ferner ane denen jenigen 46 lb so Fr. Ursula Münchin gebohrne Wickerßin von vorermeltem Johann Georg München dem ältern seel. zu genießen gehabt seine Stieffmutter Ergäntzung der Erben abgegangenen ohnverändert Guths. Crafft vorhererwehnten Inventarÿ über beeder Eheleuthe in den Ehestandt Zu einander gebrachte Nahrungen durch vorhererwehnten Herrn Johann Philipp Schüblerin Notarium seeligen in Anno 1685. gefertiget Copia der Eheberedung … den 24. Monats tag Decembris Anno 1684. Johann Philipp Schübler Notarius Publicus Abzug dießes Inventarium. Des Wittibers unveränderte Nahrung so allein in deßen ohnveränderten guths Ergäntzung bestehet 31, Summa abgangs 1, Nach solchem abgang 29 lb Der Erben ohnverändertes Guth, Sa. haußraths 33, Sa. Silbers 19 ß, Sa. Goldener Ring 6, Ergäntzung 76, abzuziehen 60, rest 15, Summa summarum 56 lb Das Gemein verändert und theilbahr Guth, Sa. haußraths 59, Sa. Werckzeugs Zum Leinenweber handwerck gehörig 16, Sa. Silbers 15 ß, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 100, Sa. Schulden 3, Summa summarum 180 lb – Schulden 70, In Vergleichung 109 lb Gantze Verlaßenschafft et Conclusio finalis Inventarÿ 195 lb – Stall Summ 155 lb Abschatzung d. 8. Martzÿ anô 1718 Auff begehren deß Ehrenhafften Vnd bescheÿten H Jacob Münch Weber, ist Eine behaußung alhier in der Statt Straßburg, in dem thumen Loch im Roßen garten gelegen, Ein seith, Neben, hanß Conrat bacheber, Ander seÿth Neben Gißbrecht Febius hinden auff den Statt graben Stoßent, Welche behaußung, hoffstatt, Ein gewölbter Keller, Sampt aller Ihrer gerechtigkeith, Wie solches durch der Statt geschwornen Werckhleüthe, in der besichtigung befündten Vnd dem Jetzigen preiß Nach Angeschlagen wirdt Vor und umb dreÿ Hundert Gulten Bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschwohren Werckh Leüthe, Jacob Staudacher werckh Meister des Maur hofs. Jacob schuller Werck Meister des Zimmer hoff, Michel Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters Jacques Münch hypothèque la maison au profit de Jean Paul Tromer, notaire et receveur à l’hospice des vérolés 1718 Chambre des Contrats, vol. 591 f° 307-v Jacob Münch der Leinenweber in gegensein hrn Johann Paul Tromers Not. publ. und Schaffeneÿ verwesers des Blatterhaußes – schuldig seÿen 50 pfund unterpfand, einem hauß cum appertinentÿs im Thomanloch im rooßengartten, einseit neben giesbrecht Verius dem Ferber anderseit neben Johann Carl Bacheberlen hinten auf den inneren statt graben Jacques Münch se remarie avec Marie Elisabeth, fille du cordonnier Jean Schultheiss contrat de mariage par lequel le mari asure à sa femme l’habitation dans le logement qu’occupent depuis trente ans ses deux sœurs, célébration Copia der Eheberedung – zwischen dem Ehren und Vorgeachten Herrn Jacob München, dem Leinenweber v. burgern allhier Zu Straßburg als dem Bräutigamb ane einem, So dann der tugendsamen Jgfr. Mariæ Elisabethæ Schultheißin, Weÿl. des Ehrenhafften Achtbahren Meister Joh Schultheißen des Schuemachers v. burgers allhier, mit der tugendsamen Frauen Elisabetha Schultheißin geb. Kellererin seiner geweßenen ehelichen haußfrauen, beede, nunmehr seeligen ehelich erziehlter Tochter, als der Jungfrauen hochzeiterin am andern theil Achtens, hat der H. Bäutigamb noch weiter gegen seiner geliebten Jgfr. hochzeiterin sich erbietig hemacht v. versprochen, wann seine beede geliebte Schwesteren welche nun bereits in die 30 Jahr beÿ sich in dem undern theil seiner Wohn behaußung in dem sogenannten Thomans loch im Roßengarthen geleg. behalten, Vor Ihme alle beede mit todt abgehen würden, auch Er der H. Bräutigamb selbst, vor Ihro einer Jungfr. braut dießes Zeitliche gesegnen würde, daß solchenfalls Sie die Jgfr. hochzeiterin auff deßen tödliches ableiben in gedachter behaußung die Von Ihnen seinen beeden Schwestern inn gehabte gemach als das underste Stüblein, Cämmerlein v. Küchlein Zeit ohres Lebens gegen sechs gulden haußzinnß, so sie deßen Verlaßenden Erben Jährlich deßhalben abzurichten Verbunden in Zu Haben, v. ohnvertrieben Zu bewohhen v. Zubesitzen, berechtiget seÿn solle … So beschehen in der Königlichen Statt Straßburg … auff Mittwoch den 8. Tag des Monats Februarÿ im Jaht als man nach Christi unsers einigen Erlößers heÿlandts und Seeligmachers gnaden und trosterichen geburth und Menschwerdung Zahlte 1719. Johann Reinhardt Lang, Notarius juratus Mariage, Saint-Pierre-le-Jeune luth. f° 40, n° II 1719. Dominica Reminiscere et Oculi proclamati sunt Jacob Münch, burg. v. Leinenweber alhier v. Jungfr. Maria Elisabetha, Johannis Schuldtheuß gewes. burg. V. Schuhmacher alhier nachgelaßene Ehel. Tochter Copulati sunt Mittw d. 15. Mart. [unterzeichnet] Jacob Münch alß hoch Zeiter, ME der hochzeiterin beÿzeichen i 44 Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans la maison propre au mari. Ses apports s’élèvent à 166 livres, ceux de la femme à 80 livres. 1719 4. Not. Lang Jean Régnard, 29 Not 115 f° 1043 Inventarium und Beschreibung aller der Jenigen haab, Nahrung und Güthere, so der Ehren und Vorgeachtene Herr Jacob Münch, der Leinenweber und die Tugendsame Fraw Maria Elisabetha Münchin, gebohrne Schultheißin beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg einander in die Ehe Zugebracht, elche der ursachen allweilen in ihr beeder Ehegemächte mit einander auffgerichteten heuraths verschreibung außtrucklichen enthalten, daß einem jeden derselben seine in die Ehe Zubringende Nahrung ein ohnverändert und vorbehalten Guth sein … So beschehen in Straßburg in fernerem beÿsein des Ehren und Wohlgeachten Herrn Jacob Christoph Kolben, des Weißbecken und burgers allhier der Frawen nahen Anverwanthen und hierzu erbettenen beÿstands, nicht weniger der Viel Ehren und Tugendsamen Frauen Maria Elisabetha Matzingein des auch Ehren und wohlgeachten herrn Johann Jacob Matzingers, ebenmäßig weißbecken und burgers allhier ehelicher haußfrawen auch auff seithen der Frawen hierzu erbetten, auff Montag den Septembris Anno 1719. In einer allhier Zu Straßburg, ane dem Thomansloch und Zwar im Rooßgarten gelegenen, des Manns eigenthümlich gehörigen behaußung befunden worden Wie Volgt Eigenthumb ane einer Behaußung M. Eine Behaußung sambt allen deren Zugehördten rechten und gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg im Thomansloch im Roßengarten genand, eins. neben herrn Hannß Conrad Bacheberlin dem Macklern u. Burgern allhier, neben H. Gießbrecht Verio dem Manhmeister und E. E. Kleinen Raths alten beÿsitzer auch burgern allhier, hinden auff den Statt graben stoßend. Davon gehen jährlichen 2 lb d Zinnß dem Stifft St Marx allhier jahrs auff Mariæ Verkündigung in Capital mit 50. lb. Mehr 1. lb. 10. ß d Zinß Jahrs auff Johannis Baptistæ Johann München dem ledigen leinenwebern ablößig in Capital mit 36 lb, Und dann 2. lb. 10. ß. Zinß Hrn Johann Paul Tromers Notarÿ und Verwalther in d. Blatterhauß allhier jahrs den Junÿ stehen in haubtguth wider abzulößen mit 50. lb. Summa Vorstehender auff dießer behaußung stehenden beschwährden ist 136. lb, sonsten ist die behaußung freÿ, ledig und eigen und dißmahlen umb vorwand* einiger nachtheil zu thun ohn angeschlagen gelaßen Series rubricarum hujus Inventarÿ. Des Manns in die Ehe gebrachte Nahrung, Sa. haußraths 132, Sa. Werckzeug Zum Leinenweber handwerck gehörig 23, Sa. Silbers 3, Sa. Goldenen Rings 2, Eigenthum ane einer behaußung - Summa summarum 161 lb – Hierzu ist Zurechnen des Manns halber theil ane denen haussteuren 5 lb. Des Manns in die Ehe gebracht eigenthümlich guth 166 Der Frauen in die Ehe gebrachtes Vermögen, Sa. haußraths 64, Sa. Silbers 1, Sa. goldener Ring 15, Summa summarum 75 lb – Deme beÿzusetzen der, der Frawen ane benen haussteuren gebührige halbe theil 5, Der Frawen in die Ehe gebrachtes gantzes eigenthümliche Vermögen 80 lb Jacques Münch hypothèque la maison au profit de son fils Jean 1723 Chambre des Contrats, vol. 597 f° 408-v Jacob Münch der Leinenweber seines eheleilichen Sohns Johannes Münch des ledigen Leinenwebers über deßen mütterlichen noch nicht ausgelüffertes in 72 gulden bestehendes guth unterpfand, Eine Behausung und hoffstatt cum appertinentÿs im Thoman loch im Roßengartten, einseit neben Johann Philipp Verius dem Schwartzfärber anderseit neben Johann Carl Bach Eberlé dem Mackler hinten auff dem Speÿergraben Nouvelle hypothèque entre les mêmes 1728 Chambre des Contrats, vol. 602 f° 530 Jacob Münch Leinenweber in gegensein Johannes Münch auch Leinenwebers so ledigen standts – schuldig seÿe 25 pfund unterpfand, Eine Behausung und hoffstatt mit allen derselben gebäuden, zugehörden und gerechtigkeiten im Thomanloch im Roßen gartten, einseit neben hannß Carl Bach Eberlin Rothgerber und Mackler anderseit neben Charles Petit des Sattlers Scheür hinten auff einen stadt graben Jacques Münch meurt en 1729 en délaissant quatre enfants de son premier mariage. Les experts estiment la maison à 125 livres. La masse propre à la veuve est de 138 livres. L’actif des héritiers et de la communauté s’élève à 12 livres, le passif à 98 livres. 1729 Not. Lang l’aîné Jean Daniel, 25 Not 25 f° 251 Inventarium über Weÿland des Ehrengeachten Herrn Jacob München des Leinenwebers und burgers allhier seel. Verlaßenschafft auffgerichtet Anno 1729. … nach seinem den nechstverwichenen Monath Julÿ aus dießer welt genommenen tödlichen hientritt zeitlichen hinter sich verlaßen, welche verlaßenschafft auf freundliches ansuchen erfordern und begehren des abgeleibten in erster ehe mit weÿl. der Ehren und tugendsahmen frauen Barbara Münchin geborner fischerin, deßen ehelicher haußwürthin seel. erzeugter Söhne und töchtere, als deßelben ab intestato Zu gleichen antheilen Verlaßener Erben, … wie auch die Ehren und tugendsame Frau Mariam Elisabetham Münchin die hinterbl. Wittib mit beÿstand des Ehren und Vorgeachten herrn Friderich Hannsen haußfrauers und burgers allhier ihres geschwornen Vogts … So beschehen in Straßburg den Aug. 1729. Der Verstorbene seelig hat ab intestato Zu Erben verlaßen wie volgt. 1. Frau Margaretham Salome Anstättin gebohrne Münchin, Herrn Sebastian Anstätts des Tabackbereiters und Burgers allhier ehel. Haußwürthin, so mit und beneben ihrem Ehevogt dem geschäfft Persönlich beÿgewohnet, 2. Frau Susannam Martham Waltzin gebohrne Münch, Herrn Joh Waltzen des Huthmachers und Burgers allhier Ehegattin, so mit und beneben ersterwehntem ihrem Ehemann gleichfalls Persönlich zugegen gewesen, 3. Herrn Philipp Jacob München, Schumacher und burger allhier, so seine stelle hiebeÿ selbsten vertretten und dann 4. Herrn Johann München, den ledigen Leinenweber, so mit beÿstand Herrn Philipp Jacob Heÿers des Schneiders und burgers allhier seines erbettenen herrn assistenten dem Geschäfft persönlich abgewartete. Also alle Vier des abgel. seel. mit eingangs gedachter Barbara Münchin gebohrner fischerin seiner ersten Ehefrauen Ehelich erzeugte Söhn und Töchere und Zu vier gleichen antheilen verlaßene Erben In einer allhier Zu Straßburg ane dem Thomansloch und Zwar im Rooßgarten gelegenen, in dieße Verlaßenschafft gehörigen behaußung befunden worden Wie volgt Ane Höltzen und Schreinerwerck, In der Cammer A, In der Cammer B, In der Cammer ober der Stub, In der Soldaten Cammer, In der Wohnstub, Im Haußöhren Ergäntzung der Wittib ohnverändert Guths. Vermög Invent. über des Verstorbenen seel. und Ihro seiner hinderbliebenen wittib einander in die Ehe Zugebrachte Nahrung durch weÿl. Not. Joh Reinhard Langen seel. in A° 1719. gefertiger Eigenthumb ane einer Behaußung, so der Erben ohnverändert E. Eine Behaußung mit allen dero Rechten, Zugehörden v. Gerechtigkeiten gelegen allhier Zu Straßburg ane dem sogenandten Thomansloch im Roßengarten, einseith Johann Conrad Bacheberlin, dem Mackler, anderseith neben H. Petit dem frantzösischen Sattler, hinden auff den Statt graben stoßend, welche durch die Werckleuthe vermög deroselben ad Conceptum geliefferten schrifftl. Abschatzungs vom 4. Aug. 1729. angeschlagen pro 275. fl. oder 137 lb. 10. ß d. Hievon gefallen Erstl. 2 lb d zu 4. pro Ct° gerech. Geld Zßes dem Stifft St Marx allhier Jährl. auf Mariæ Verkündigung, wiederlößig in haubtgut mit 50. lb. d. Mehr 1. lb. 10. ß d Zinß H. Johann München dem dißseitigen jüngsten Sohn Jeweilen auff Johannis Baptistæ redimibel in Capital von deßen Mütterl. Erbs portion mit 36 lb, Und dann 2. lb. 10. ß. d. Zinß Zu 5. pro Ct° gerech. Geld Zß Hrn Joh. Paul Tromern, Not. v. Verwalthern des Blatterhaußes allhier Jahrs auff den Junÿ, Wider Käuffig in haubtguth mit 50. lb. Masen dieße 3. auf solcher behaußung hafftende Capital posten Zusammen 136. lb 6 ß 9 ? d. Solche nun von obigem Anschlag abgezogen, so Verbleibt dißorts mehrers nicht außzuwerfen, dann 1 lb 3 ß 2 2/3. d. Über diese behaußung besagt j. teutsch perg Kauffbr. mit der Statt Straßb anhang Canc Cont. Ins verwahrt de dato Martÿ 1687. Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der Wittib ohnverändert Vermögen, Sa. haußraths 9, Sa. Silbers 12 ß, Sa. Goldener Ring 6, Sa. Schuld 12, Sa. Ergäntzung 5, abzuziehen 18 ß, rest 5, Summa summarum 30 lb Dießemnach Wird auch der Erben annerstorbenen Vätterlich Guth consignirt und beschrieben, Sa. haußraths 47, Sa. Werckzeugs Zum Leinenweber handwerck gehörig 11, Sa. Silbers 4 ß, Sa. Eigenthums ane einer behaußung 1, Sa. Ergäntzung 15, abgang Per Se 13, Summa summarum 73 lb – Schulden 12, Nach deren Abgang 61 lb Endlichen Wird auch das gemein Verändert und Theilbahr Guth beschrieben, Sa. haußraths 11, Sa. Werckzeugs Zum Leinenweber handwerck gehörig 1, Summa summarum 12 lb – Schulden 98, In Vergleichung, Theilbahres passiv onus 86 lb Gantze Verlaßenschafft et Conclusio finalis Inventarÿ 5 lb Copia der Eheberedung … So beschehen in der Königlichen Statt Straßburg … auff Mittwoch den 8. Tag des Monats Februarÿ im Jaht als man nach Christi unsers einigen Erlößers heÿlandts und Seeligmachers gnaden und trosterichen geburth und Menschwerdung Zahlte 1719. Johann Reinhardt Lang, Notarius juratus Abschatzung d. 4. aug. aô 1729. Auff begehren Weÿland des Ehrenhafften und bescheidenen Meister Jacob Minch gewesenen Leinen webers seel. hinterlaßene Frau Wittib und Erben, ist eine behausung allhier in der Statt Straßburg in dem Thoma Loch im Rosengarten gelegen, einseits Neben hannß Carl Bach Eberlein Mackler, anderseits Neben herrn Petit Sattler, hinden auf den weiten graben stoßend, Stuben, Cammern, Soldaten Cammer, Kuche, hauß Ehrlein Kuchel und gewölbtes Kellerlein, sambt aller gerechtigkeit wie solches durch der Statt Straßburg geschworne Werckleuthe sich in der besichtigung befunden und Jetzigem preiß Nach angeschlagen und Vor und Umb Zweÿ Hundert Siebenzig undt Fünff gulden. Bezeichnüß durch der Statt Straßburg geschworene Werckleuthe [unterzeichnet] Michael Ehrlacher Werck Meister deß Meinsters, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs, Johann Peter Pflug Werckmeister deß Mauer hofs Marie Elisabeth veuve de Jacques Münch quitte la tribu des Drapiers pour celle de la Mauresse et y obtient le droit de revente 1737, Protocole de la tribu de la Mauresse XI 258 f° 287-b v° Donnerstags den Martÿ A° 1737 – Neue Leibzünfftige Gimpel Käufflerin Frau Maria Elisabetha Münchin, Weÿland Jacob München geweßenen Leinenwebers und burgers allhier hinterlaßene Wittib, producirt Stallschein vom Februarÿ 1737. Vermög deßen sie E. E. Zunfft der Tucher quittiret, bittet um das Zunfft und Gimpel Käuffler Recht. Erkandt, gegen erlag der Gebühr willfahrt. Erlegt vor den Pfenningthurn 13 ß 4 s, Vor das Zunfftrecht 5 ß, Vor das Käuffler recht 8 ß 4 s, Vor die Feur Eÿmer 3 ß 4 d Und Einschreib geld 2 ß, Macht Zusammen 1 lb 12 ß VII 80 Kipp, III 80 Münch Philippe Jacques Münch devient seul propriétaire de la maison en en rachetant les parts. 1729 Not. Lang l’aîné Jean Daniel, 25 Not 25, Joint au n° 251 du 8 août 1729 Vergleichung des Eigenthums ane einer Behaußung so der Erben ohnverändert So viel die Behaußung und hoffstatt mit allen deroselben begriffen, weithen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten allhier Zu Straßburg ane dem sogenandten Thomanloch im Roßengarten, einseith Joh. Conrad Bacheberlin dem Mackler, anderseith neben H. Petit dem frantzösischen Sattler, hinden auff den Statt graben berühren thut, ist solche von Frauen Margaretha Salome Anstethin gebohrner Münchin, beÿständlich Herrn Sebastian Ansteths ihres Ehevogts, Mehr von Frauen Susanna Martha Waltzin gebohrner Münchin, mit beÿhülff Herrn Johann Waltzen ihres Ehemanns, so dann von Herrn Johann München, denen beeden Töchtern, Tochtermänneren und jüngern Sohn Herrn Philipp Jacob München, dem Schumacher und burgern allhier, dißorths ältern, Sohn vor freÿ ledig und eigen Käufflichen eigenthümlichen cedirt und überlaßen, auch von Ihme dergestalten übernommen worden, Vor und umb die Summam der 800 gulden oder 400 lb. … Und weilen nach besag des Neundten puncten Ihr beeder Ehepersonen mit einander auffgerichteter Eheberedung, der Verstorbene seel. geordnet, daß seine hinderlaßene Wittib, die freÿe Wahl haben solle, entweder in dem undern theil seines haußes, das Jenige stublein, Cämmerlin und küechlin, so seine beede Schwestern nun seel. Jeweilen ingehabbt gegen entrichtung Jährlicher Sechs gulden lebtägig als ein wÿdembs sitz Zubewohnen und Zugenießen, oder aber wann dieselbe Zu deren selbstiger bewohnung Keine lust haben würde, deßen Erben ane statt eines wÿdembs Zinßes Ihro Jährlichen Vier gulden Zureichen schuldig seÿn sollen, und nun Sue die Wittib sich dermahlen entschloßen besagte Gemach selbsten Zubeziehen und Zubewohnen, Alß ist Anbeÿ Verglichen daß gedachter Hr. Philipp Jacob Münch der übernhemer des haußes deroselben oberwehntes undere Stüblein, Cämmerlein und Küchlein als lang sie solches Zubehalten lust haben wird, einzuräumen und Wÿdembs weißen Zulaßen schuldig und verbunden … So beschehen zu Straßburg den 31. Aug. aô 1729. [unterzeichnet] Philipp Jacob Münch, frauen Margarethæ Salome Anstethin gebohr. Münch handzeich MSA, bastian anstett als schwag. Frauen Susannæ Marthæ Waltzin gebohrner Münchin handzeichen SMW, Johanes Waltz als Ehe vogt, Johannes Münch, Mariæ Elisabethæ Müncin der Wittib handzeichen MEM, Friderich Hans de Wittib vogt Philippe Jacques Münch épouse en 1721 Marie Marguerite, fille du cordonnier Jean Jacques Baur contrat de mariage non conservé, célébration 1721, Not. Pantrion Jacques Christophe, répert. 65 Not 45, Eheberedungs Concepta, welche noch Zu expediren, f° 259 sqq Eheberedung – Philipp Jacob Münchel Schumach undt Jgf. Mariæ Marg Baurin Exp. Mariage, Temple-Neuf luth. f° 339, n° 1399 1721. D. eodem [d. 9. Julÿ] wurd. nach 2 maliger außruffung ehel eingesegnet Philipp Jacob Münch d. ledige schuhmacher v. burg. allhier Jacob Münchs burg v. leinenwebers ehel. Sohn v. Jgfr. Maria Margaretha, Joh Jacob Baurs hiesig. burg. v. schumach. ehel. Tochter [unterzeichnet] Philipp Jacob Mönch als hochzeiter, Marrana Margreda beurin als hochzeiterin i 338 Les nouveaux mariés font dresser l’inventaire de leurs apports dans une maison petite rue de la Grange. Ceux du mari s’élèvent à 67 livres, ceux de la femme à 134 livres. 1722 Not. Pantrion Jacques Christophe, 40 Not 47 f° 76 Inventarium und Beschreibung aller Haab und Nahrung, so der Ehrenhafft und bescheidene Meister Philipp Jacob Münch der Schuhmacher, und die tugendsame Frau Maria Margaretha Münchin gebohrene Baurin beede Eheleuthe und burgere allhier zu Straßburg Crafft ihrer mit einander auffgerichteter Eheberedung als ein unverändert Guth in den Ehestand zugebracht … So beschehen v. verhandelt in der Königlichen Statt Straßburg in fernerer Gegenwarth des Ehrengeachten Meister Jacob München leinenwebers des Ehe Manns Vatters auff sein des Ehemanns, so dann des auch Ehrengeachten Meister Johann Jacob Bauren Schuhmacher des Ehefrauen Vatters auff ihr der Ehe Fr. seithen, Dienstags den 5. Maÿ Anno 1722. In einer alhier Zu Straßburg in der Kleinen Stadel Gaß gelegener hiehero nicht gehöriger behaußung ist befunden worden wie folgt Series Rubricarum. Des Ehemanns in die Ehe gebr. Vermögens, Sa. hsraths 47, Sa. Leders 6, Sa. Silbers 2, Sa. baarsch. 11 Summa summarum 67 lb Diesemnach so wird dann auch der Ehefr. in die Ehe gebrachtes Vermög beschr., Sa. häraths 117, Sa. Silbers 6, Sa. Goldener Ring 8, Sa. baarsch. 32, Summa summarum 164 lb Philippe Jacques Münch meurt en 1741 en délaissant cinq enfants. La masse propre à la veuve est de 115 livres, celle propre aux héritiers de 19 sols. Les experts estiment la maison à la somme de 325 livres. L’actif de la communauté s’élève à 75 livres, le passif à 98 livres. 1741 Not. Brackenhoffer Jean, 4 Not 13 f° 580 Inventarium über Weÿl. des Ehrenhafft und bescheidenen Mstr Philipp Jacob München gewes. Schumachers und b. alhier Zu Straßb. nunmehro seel. Verlaßenschafft, auffgerichtet in Anno 1741. … nach seinem den 22 Marty lauffenden Jahrs aus dießer Zeit und Welt genommenen tödlichen hintritt hie Zeitl. verlaßen, welche Nahrungs Verlaßensch. dato Zu End stehend, auf freundl. ansuchen Erfordern und begehren des Ehrs. Mstr. Johann Michael München des Leinenwebers u. b. alh. alß geordnet und geschworenen Vogts, Philipp Jacob Johann Jacob, Joh Michaels, Margaretha Salome und Johannes der Münche, aller 5. des abgeleibten sel. mit Fr. Maria Margaretha geb. Baurein der hinterbl. Wb. ehelich erzeugt KKr. und ab intestato Zu 5. Stamm theilen verlaßener Erben, ersucht und inventirt, nach deme sie die Wb. mit beÿstand H Joh Frantz Lauerhoß Schumach u. b. alh. … Actum Strasb. den Junÿ 1741. In einer alhier Zu Straßburg In dem sogenanden Rosengarten gelegenen, in dieße Verlaßensch. gehörig. ist befunden worden als Werckzeug und led. Zum Schumach hdwerck gehörig Eigenthumb ane einer Behaußung E. Eine Behaußung und Hoffstatt mit allen dero Zugehörden Rechten und Gerechtigkeiten, geleg. alh. Zu Straßb. ane dem sogenanden Thoman Loch im Rosen Garten neben Andreä Tschitterich dem Leinenweber Magazin H. Petit dem Sattler Zuständig hinren auff den Weiten Statt Graben stoßend, so /außer einigen darauff verhafftender hernach unter denen passivis eingetragenen Capitalien/ freÿ leedig und eigen, vnd vermög Scheins vom May h a durch die Werckleuthe æstimirt und angeschlag. vor u. umb 325. lb. Nota. Diese behßung hat der verstorb seel. in aô 1729. auff absterb. Weÿl. H. Jacob München des gewes. Leinenwebers seines Vatters seel. von übrig. seinen Mit Erben Käufflichen angenommen. Über diese behßung bes. i. teutsch Perg Kauffbrieff aus alhies C. C. stub gefertiget u. mit dero anhang. Insiegel verwahret datirt den 8. Martÿ 1687. Ergäntzung der Wittib wegen wehrender Ehe abgegangenen ohnveränderten Guth. Nach außweisung des über des verstorbenen seel. und der hinterbl. Wittib einander in den Ehestand Zugebracht Nahrung durch nunmehro Weÿl. Hn Notarium Jacob Christoph Pantrion sub dato den 5. May 1722 auffgerichteten Inventarÿ Series rubricarum hujus Inventarÿ. Der hinterbl. Wb offentlich verÿehenen Vermögens, Sa. häraths 8, Sa. Silbers 2, Sa. Gold. Ring 1, Sa. Activorum 40, Sa. der Ergäntzung 63, Summa summarum 115 lb Diesemnach so wird dann auch der Erben ohnverändertes Vermögen beschrieben, Sa. hßraths 5, Sa. Silber 11 ß, Sa. Eigenthumbs an i. behaußung 325, Sa. Ergäntzung -, Summa summarum 331 lb – Schulden 331 lb 19 ß, der Erben ohnverändert activ Nahr dem Stall tax nach umb 19 ß Endl. so wird auch d. gemein verändert und theilbar Vermögen beschrieben, Sa. haußraths 21, Sa. Leerer faß u. bütten 2, Sa. Werckzeugs u. Leders 4, Sa. Silbers 2, Sa. baarschafft 2, Sa. activorum 41, Summa summarum 75 lb – Schulden 98 lb, Übertreffen denach die theilbare passiva d. theilbare activ Vermögen dem Stalltax umb 23 lb Abschatzung dem 30. Maÿ 1741 Auff begehren deß bescheidenen Meister Pflip Jackob Münch deß gewëßenen schumachers seel. hinderlaßenen frau wittib und Erben ist ein behausung allhier in der Statt Straßburg ihm Thoma Loch in der roßen garten gelägen, ein seitß Neben andreaß schiterich dem wëber, anderseitß Neben einer Mackasin so herr Petit dem satler Zu gehörich, hinden auff den weithen graben Stoßent, welche behaußung, unden ein Stubell Kuchell und daß hauß Ehren ein gewölbs Kellërlein, ob dar über ein stuben Kuch und hauß Ehren, wor über Zweÿ Cammren eine die soldaten Cammer ein sehr alter tachstull daß tach mit hollziglen belegt, holtzrer gebell so mit diellen Zu geschlagen sambt aller gerëchtig Keidt wie solcheß durch der Statt Straßburg geschworne werck Meister sich in der besichtigung befundten Jetzigen Preÿß nach angeschlag. wirdt Vor und Umb Sechß hundert und vünffzig Gulten. bezeichnuß der Statt Straßburg geschwornen wërck Meister, [unterzeichnet] Johann Peter Pflug Statt Lohner, Johann Jacob Biermeÿer Werck Meister deß Zimmerhoffs Les cohéritiers Münch vendent la maison au tisserand Gabriel Noblo et à sa femme Barbe Neumann moyennant 550 livres 1761 Chambre des Contrats, vol. 635 f° 295-v Philipp Jacob Münch der schuhmacher vor sich selbst und als vogt seines abwesenden bruders Johann Michael Münch, Johann Jacob Münch des schuhmachers und deßen schwester, Margaretha Salome geb. Münchin Johann David Güttel des schuhmachers ehefrau in gegensein Gabriel Noblo des leinenwebers und Barbaræ geb. Neumännin eine behausung und hoffstatt mit allen gebäuden, begriffen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten insonderheit der gerechtigkeit des profeÿ so Johann Daniel Baumgarten des leinenwebers hauß sich befindet, im Thomanloch in Roßgarten einseit neben ged. Baumgarten, anderseit neben weÿl. Peter Petit dem sattler, hinten auff den innern stadtgraben – als ein elterliches erbguth – um 50 lb verhafftet, geschehen um 500 pfund Originaire de Héricourt, Gabriel Noblo épouse Anne Barbe Neumann, fille du tisserand Jean Adam Neumann contrat de mariage, célébration à Illkirch 1744 Not. Brackenhoffer Jean, 4 Not 30 n° 711 Eheberedung – zwischen dem Ehrsamen Gabriel Noblot dem ledig. leinenweb weÿl. Jacob Noblot geweß leinenweb. v. b. Zu Hericour Hinderlaß. ehelich erzeugten Sohn, alß hochzeitern ane einem andern theilß aber anna Barbara Neumännin Mstr. hanß adam Neumanns deß leinenweb. vndt burgers alhier ehelich erzeugten dochter alß hochzeiterin Straßb. d. 9. Augusti Anno 1744 [unterzeichnet] Gabriel Noblot als hoch zeither, abm der hochzeiterin handzeichen Mariage, Illkirch luth. f° 27 1744. d. 25. sind auf copulaôns und schein Hoch Adel. obrigkeit alhier nach vorhergegangenen in Strasb. Zum alt. S. peter ehl. copulirt und eingesegnet word. H. Gabriel Noble der ledige leinenweber und burg. alhier weÿ. Jacob Noble gewesenen burg. und leinenwebers Zu Münpelgart ehel. Sohn und Jfr. Maria Barbara Johann Adam Neumanns des burg. und leinenwebers alhier ehel. tochter [unterzeichnet] Gabriel Noblo als hochzeiter, o der hochzeiterin handzeichen i 177 Gabriel Noblo fait dresser un état de fortune pour accéder à la bourgeoisie 1744 3. Not. Brackenhoffer Jean, 4 Not 36 Varia n° 297 Vermögenschaft. Gabriel Noblo deß leinenwebers von Hericour beÿ Mümpelgard gebürtig so derselbe H Joh Albert einem dießer Statt geschworne Käuffler vorgewießen vnd mit handtreu ane eÿdes statt angelobet daß solches sein wahrhafftes eigenthumb seÿe, vndt seind die hausräth. Posten durch besagten Hn Alber folgend. maßen æstimirt word., Straßb. den 3. 1744. Haußrath 72, gold. o. vnd silber 9, Garn vnd werckzeug 37, baarschafft 141, Summa 260 lb Gabriel Noblo devient bourgeois par sa femme quelques jours après le mariage. 1744, Livre de bourgeoisie 1740-1754 VII 284 p. 190 Gabriel Noblo der leinenweber Mstr. Von Münpelgardt gebürtig, erhalt das burgerrecht ab uxore Anna Barbara Joh Adam Neumanns burgers und leinenwebers Ehel. tochter um den alten burgerschilling, will beÿ EE Zunfft der tucher dienen. Jurav. eodem [9. Xbr 1744] Gabriel Noblo meurt en 1773 en délaissant deux enfants. Les experts estiment la maison à 400 livres. La masse propre à la veuve est de 102 livres, celle propre aux héritiers de 28 livres. L’actif de la communauté s’élève à 641 livres, le passif à 892 livres. 1773 Not. Haering 6 E 41, 1374 n° 490 Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haabseeligkeiten auch Schulden darein und daraus Zu bezahlend, so Weil. der Ehrenachtbare Herr Gabriel Noblo, E. der Sechß geschwornen des Ehrs. Lwbr. Hdwks. gew. Mit Mr. und Br. alh. Zu Strassburg nunmehr seel. nach seinem den 7. Maÿ lauffenden Jahrs aus dießer Welt genommenen tödl. von Hinnen Scheiden hie Zeitl. verlaßen hat. Welche Verlt. auf gebührendes Ansuchen der Ehren und tugendsahmen Frau Annæ Barbaræ Noblo geb. Neumännin, der dißortigen Wb beÿstandl. des Ehrenachtbaren H. Joh Phil Marzolf Es. der 6. geschwornen Lwbr. Mr. sondern auch des Ehrengeachten Herrn Joh frid. Hanßmetzger, geschwornen Holtzlegers, als geordnet und geschworenen Vogts Jgfr. Catharinæ Barbaræ welche bald das Jahr erreichen wird und Gabriel, der bald 17 Jahr alt seÿn wird, beeder der Noblo, welche fähig sind Ihren Verstorbenen Vater seel. Zu erben, in deren Nahmen aber ebenged. Ihr Vogt sich erklärt hat, daß Er gegenwärtige Verlaßen und Erbschafft anderer gestalten nicht, dann cum Beneficio legis et Inventarÿ antretten wolle … So beschehen Straßburg Donnerstags den August 1773. In einer alhier Zu Straßburg an dem Roßengäßlein gelegenen, in gegenwärtige Verl. gehörige behaußung befunden worden, wie folgt. Eigenthum an einer Behausung. Nemlich eine Behaußung und hoffstatt, mit allen deren Gebäuden, begriffen, Zugehörden, Rechten und Gerechtigkeiten, in sonderheit der Gerechtigkeit des Prophei so in Joh Daniel Baumgartners Sen. Lwbrs. Hauß sich befindet alhier im thoman loch im Roßengarten neben ebenged. Baumgartner neben H. N. Faudel Sattler, hinten auf de innern Stattgraben stosend gelegen, so über hernach gemeldte Passiv Capitalien freÿ, ledig, eigen und durch die Werckmeistere Zufolg deren Zu dises Inventarÿ Concept schrifftl. gelieferter Abschatzung vom 13. Augusti 1773. angeschlagen worden pro 800 Gulden, hier 400 lb. Darüber besagt deutscher pergamentener Kaufbrieff aus alhß. C. C. Stb mit anhangenden deren größeren Insiegel versehen vom 1. 1761.. Wobeÿ aufbehalten älterer dergl. Kaufbrief vom 8. Martÿ 1687. Bericht. Nach deme gegenwärtige Verlt. inventirt war und man nach Erheischung vorher abschriftl. einverleibter Eheberedung Punctens Zu Ersuch und Ergäntzung beederseits eingebrachten freÿ und eigen vorbehaltenen Vermögens schreiten wollen, si hat die Wb. angezeigt, daß sie versaumt haben, eine Richtschnur darüber aufrichten Zu laßen, doch hat Sie die Wb. einen unterm hujus von H Not° Dinckel auffgerichteten Extract Ihres von H. Rathherrn Joh Sebastian Kratz, welcher von Ihres Vaters Massam gehörig gewesene an dem Scharlachgäßlein gelegene Zweÿ Häuser in der Ganth an sich ersteigert hatte … Abzug gegenwärtigen Inventarÿ. Copia der Eheberedung … Straßburg den den 9. Augusti Anno 1744, Johannes Brackenhoffer Notarius juratus, coll. Joh. Richard Häring Notarius Der Wb. unverändert und eigen vorbehaltenen Guths, Sa. Hßraths 8, Sa. Activ schulden 15, Erg. 79 lb, Summa summarum 102 lb Diesemnach wird auch der Beneficial Erben unverändert u. eigen vorbehalten Guth beschrieben, Sa. Kleÿdung 13, Ergäntzung 30, Summa summarum 43 lb – Schulden 15 lb, Nach deren Abzug 28 lb Endlich folgt auch das gemein verändert und theilbare Guth, Sa. hausraths 31, Sa. Wkzg u. Waar Zum Lwbr. Hdwk. gehörig 144, Sa. baarschafft 9, Sa. Eigenthum ane I. behßg 400, Zweiffelhaffte activ schulden 56, Summa summarum 641 lb – Schulden 892 lb, In Vergleichung 250 lb Mehr Schulden dann guth 88 lb. – Abschatzung Vom 13. aug. 1773. Auff begehren Weil. Gaberiell Noblo des gewesener Leinenwebers hiender Lasener Frau witib und Erben ist eine behausung alhie in Der Statt Strasburg in Dem Rosen geslein gelegen Ein seits Neben H baumgartner dem seÿerst beÿ arellien ander seits Neben H Faudell dem sadtler und hienden auf Dem weiten graben Stosent gelegen, solche behausung besteht in zweÿ Stuben zweÿ Kichen und eine Kamer, Dar jber ist der dach Stuhl mit breitziglein belegt, hat auch ein Gewölbten Keller, Von uns Vnterschribnen der Statt Strasburg Geschworne werckmeister nach vorher geschehener besichtigung aller jhrer Gerechtigkeit Dem Jetzigen wahren wert nach Estimirt und angeschlagen worden Vor und Vmb Acht Hundert Gulden [unterzeichnet] Werner Huber Anne Barbe Noblot meurt en 1780 en délaissant son fils pour unique héritier. L’actif de la succession s’élève à 429 livres, le passif à 537 livres. 1781 Not. Becker 6 E 41, 1395 n° 27 Inventarium und Beschreibung aller derjenigen Haab und Nahrung so liegend alß fahrend, Schulden in und aus dem Erben keinerleÿ nichts davon außgenohmen reserviret auch vorbehalten, so weÿl. die viel Ehr und tugendsame Frau Anna Barbara Noblot geb. Neumännin des auch weÿl. Gabriel Noblot Es. En. Lwbr. handwercks gewesten geschwornen mitmeisters auch burgs. allhier Zu Straßburg hinterbliebene Wittib nach ihrem den 20. Christmonat 1780. aus dießer Welt genommenen tödl. Hientritt hie zeitlichen verlaßen, Welche verlaßenschaft auf geziemendes ansuch. Erfordern und begehren Hn Gabriel Noblot des burgs. und Lwb. meisters allhier, gedacht beeder Verstorbenen seem. ehel. hinterlaßenen Sohns und ab intestato eintzig rechtsmäßig. Erbs, Inventirt und ersucht, durch denselben und deßen Ehefr. Anna Magdalena geb. Lutzin … geäugt und gezeigt – So beschehen in der Königlichen Stadt Straßburg auf Montag den Martÿ 1781. In Einer allhier ane dem Rooßengäßlein gelegener in diese Verlaßenschafft eigenthümlich gehöriger behaußung befunden worden alß volgt Eigenthum ane Einer behaußung. Nemlich eine behaußung und hofstatt mit allen deren gebäuden, begrifen und Zugehörden, Rechten und gerechtigkeiten in sonderheit der Gerechtigkeit des S v. Prophei so in weÿl. Joh. Daniel Baumgartner Senioris, Leinenwebers Wb. und Erben Hauß sich befindet allhier im thomanloch im Rooßengarthen, neben ebengedachten baumgartner seel. Wb. und Erben n. Hn. N. Faudel, Sattler hinten auf den innern Stadtgraben stosend gelegen, so über hernach gemelte passiv Capitalien freÿ leedig undt eigen. Darüber besagt ein teutscher pergamentener Kaufbrief aus allhies. stub mit anhangendem deren größerem Insiegel versehen, vom 1. 1761 wobeÿ auf behalten älterer dergleich. Kaufbrief vom 8. Marty 1687. Zufolg Inventarÿ über weÿl. Gabriel Noblot des dißorts geweßten Ehemanns verlaßenschaft den 12. aug. 1773. durch weÿl. H. Not. Häring errichtet, ist sothane behaußung der Hh. Werckmeistern Abschatzung gemäs angeschlagen worden pro 400 lb. Beÿ welchem anschlag man es dermalen auf verhofentliche Genehmhaltung derer Hh. dreÿ Löbl. Stadt Stall gelaßen hat, um so mehr als dieses hauß seither mit keinem Hauptbau ameliorirt wohl aber annoch baufälliger worden. Sa. hausraths 12, Sa. Werckzeugs 16, Geschmeid 6 ß, Summa summarum 429 lb – Schulden 537 lb, Compensando, Conclusio finalis Inventarÿ 108 lb Son fils Gabriel Noblo devient propriétaire de la maison. Il épouse en 1780 Anne Madeleine Lutz, fille du potier Léonard Lutz Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux luth. f° 132, n° 24 1780 den 26. und 27. post Trinitatis proclamirt und den 27. Novembris copulirt Worden Gabriel Noblot lediger Leinenweber weil. Gabriel Noblot gewesenen Leinenwebers und burgers allhier und Fr Annä Barbarä gebohrner Neumännin ehelicher Sohn, und Jgfr Anna Magdalena weil. Leonhard Lutz gewesenen burgers und Hafners allhier und Fr. Annæ Margarethä gebohrner Von Zabern eheliche Tochter [unterzeichnet] Gabriel Noblo Als hochzeitern Anna Magdalena lutzin als hochzeirin i 136 Gabriel Noblo et Anne Madeleine Lutz hypothèquent la maison au profit du mineur Jean Adam Beutler 1783 Chambre des Contrats, vol. 657 f° 274-v Gabriel Noblo der leinenweber und Anna Magdalena geb. Lutzin unter assistentz Johann Jacob Meinhard des zimmermeisters und Johann Leonhard Kretzinger des metzgers in gegensein Martin Beutler gewesten portners in dem Zweibruckischen hoff seel. nachgelassenen einen sohns Johann Adam Beutler geordneten vogt Johann Rößler dem frippier, vor jene 200 gulden unterpfand, eine behausung samt zugehörden im Thomas loch ane dem Roßengäßel, einseit neben Mr Schäffer dem schuhmacher, anderseit neben H. Faudel des sattlers remise, hinten auff den Weitengraben Gabriel Noblo et Anne Madeleine Lutz vendent la maison au cordonnier Jean David Gütel 1786 Chambre des Contrats, vol. 660 f° 66 Gabriel Noblo der leinenweber und Anna Magdalena geb. Lutzin in gegensein H. Johann David Güthel des schumachers eine behausung und hoffstatt mit allen deren begriffen, weithen, zugehörden, rechten und gerechtigkeiten im Thomans loch im sogenannten Roßengarten, einseit neben Mr Schäffer dem schuhmacher, anderseit neben H. Faudel dem sattler meister, hinten auff den Weiten graben – als ein elterlich ererbtes gut – in welche behausung das recht hat sich des proveÿs so in vorgedachten Mr Schäffers behausung sich befindet zu gebrauchen – 1100 gulden Fils du cordonnier Jean Daniel Gütel, Jean David Gütel épouse en 1756 Marguerite Salomé Münch, fille du cordonnier Philippe Jacques Münch contrat de mariage, célébration 1756 Not. Hess J. Jacques, 6 E 41, 1289 n° 246 Eheberedung – zwischen dem Ehrsahmen Johann David Gütel, leedigen Schuhmacher Von hier gebürtig, als brautigamb ane Einem So dann der tugendsahmen Jungfrawen Margaretha Salome Münchin, weÿl. Meister Philipp Jacob Münch geweßenen Schuhmachers und burgers allhier hinterlaßener ehelicher Tochter, als hochzeiterin andern theÿls Beschehen allhier Zu Straßburg Mitwoch abents den Junÿ anno 1756. [unterzeichnet] Johann David Güthel, Margartha Salome Münch Mariage, Temple-Neuf luth. f° 360 n° 1397 1758. Mittwoch d. 5. Apr. seind nach ordentlicher proclamation ehl. copulirt und eingesegnet worden Joh David Güthel der ledige schumacher weÿl. Joh Daniel Guthels Schumachers und b. allh. ehel. Sohn und Jfr. Margaretha Salome weÿl. Philipp Jacob Munchen Schumachers und b. allh. ehel. tochter [unterzeichnet] Johan David Güthel als hochzeiter, Margard Salome Munchin hochzeitrin i 365 Marie Salomé Münch meurt en 1802 dans sa maison quai Saint-Nicolas en délaissant une fille 1802 7 germ. 10, Strasbourg 5 13, Not. F. Grimmer n° 1531 Inventarium über weÿl. bürgerin Maria Salome Münch des bürgers Johann David Gütel des Schuemachers Ehefrauen Verlaßenschafft – nach ihrem den 22. vendemiaire letzhin erfolgten absterben Benennung der erben, ihre einzige mit dem hinterbliebenen wittiber erzeugte tochter die bürgerin Catharina Dorothea Gütel des bürgers Johann Michael Lindenlaub Schloßers ehefrau in der hernach beschriebenen hieher gehörigen behausung Behausung. T. Neml. Eine behausung bronnen und hoffstatt mit allen deren Gebäuden, begriffen, weithen, zugehörden, rechten und Gerechtigkeiten zu Straßburg gegen der schindbruck am Niclausstaden N° 66 einseit neben dem gasthauß zum Gertenfisch, neben br. Memminger und hinten auf br. Engelhard und den gertenfisch – davon gibt man 7 fr jährl. zinnßes für almend der gemeinde und hospital dahier zalbar der Erbin, kleidung 45 fr theilbar masse, hausrath 250 fr, behausung ohne anschlag, summa 250 fr Eheberedung … 28. julÿ 1756, Heß Not. Codicill, Humbourg, Not. regius, 21 herbstmonath 1785 Enregistrement, acp 84 F° 14 du 11 germ. 10 Jean David Gütel vend la maison au tisserand Georges Michel Kohler et à Marie Salomé Gœnner 1794 21 pluviose 2, Chambre des Contrats, vol. 671 n° 1361 cit. Jean David Gütel cordonnier cit. Georges Michel Kohler tisserand et Marie Salomé née Goenner assitée de de Balthasar Goenner instrumenteur pour le clavecin, et Jean Jacques Goenner commis au bureau des gazettes une maison avec toutes ses appartenances, droits et dépendances rue du Jardin aux roses, d’un côté le cit. Jean Daniel Schaeffer cordonnier, d’autre le cit. Jean Faudel sellier, derrière le fossé dit Weitengraben – pour 2800 livres et 200 livres de capital acp 20 f° du 21 plu 2 Originaire d’Eitensheim en principauté d’Eichstätt, Georges Michel Kohler épouse en 1785 Marie Salomé Gœnner, fille de tisserand contrat de mariage, célébration 1785 Not. Stoeber 6 E 41, 1260 n° 206 Eheberedung – persönlich erschienen Georg Michael Kohler, lediger Leinenweber, Johann Michael Kohler des ackersmanns zu Eintzheim im Fürstenthum Eichstädt mit weiland Fraun Sibilla gebohrner Obergruberin ehelich erzeugter Sohn, welcher den vätterlichen Consens hierzu versicherte, als hochzeiter, beÿständlich Johann Christoph Kohler des Metzgers u. brs alhier seines Vettern an einem und Jungfer Maria Salome Gönnerin H Jacob Gönner des Leinenwebers u. brs. allhier in erster Ehe mit weil. Fraun Catharina Salome geb. Fichterin ehelich erzeugte Tochter als braut unter autorisation ihres Vaters am andern theil den 5. Aprilis Anno 1785 [unterzeichnet] Georg Michael Kohler als hochzeiter, Maria Salome Gönnerin als Hochzeiterin Mariage, Saint-Pierre-le-Vieux luth. f° 73-v, n° 29 1785. sind nach zweÿmalicher Proclamation in unserer Kirch dienstag den eilften Octobris copulirt worden Georg Michael Kohler led. Leinenweber und Burger alhier, Johann Michael Kohler, Ackersmanns zu Eintzheim im Eichstättischen, mit weil. Fr. Maria Sibilla geb. Obergruberin ehl. erzeügter Sohn, Und Jgfr. Maria Salome Gönnerin Mstr Jacob Gönner, Leinenwebers und Burgers alhier, mit weil. Fr. Catharina Salome geb. Fichterin ehl. erzeugte Tochter i 77 Georges Michel Kohler devient bourgeois par sa femme un mois après le mariage 1785, Livre de bourgeoisie 1783-1787 VII 1559 f° 92-v geörg Michel Kohler der Leinenweber Von Eintzheim in dem fürstenthum aich statt gebürtig, weÿland Johann Michel Kohler gewesten Burgers vnnd Küblers daselbst hinterlaßener ehelich. sohn, verheurathet mit Marja Salome gönnerin, Joh Jacob gönner des burgers vnd Leinenwebers allhier eh. Tochter, erhalt das burgerrecht ab uxore vmb d. alten burger schilling, will dienen Zur E. E. Zunfft der tucher, juravit den 1785. Georges Michel Kohler meurt en 1825 en délaissant pour unique héritière sa fille 1825 Strasbourg 2 58, Me Weigel n° 3685 Inventaire de la succession de Georges Michel Kohler, tisserand décédé le 6 novembre dernier – à la requête de Marguerite Salomé Kohler épouse de Georges Guillaume Nicolas, menuisier héritière de son père dans la maison mortuaire rue du Jardin des roses n° 6 la moitié d’une maison avec appartenances sise à Strasbourg rue du Jardin des Roses n° 6, d’un côté le Sr Connain sellier, d’autre le Sr Pelletier, derrière le fossé intérieur de la ville – acquise par le decujus et sa femme Marie Salomé Gönner de Jean David Gütel, cordonnier, suivant acte passé à la cidevant Chambre des contrats le 21 pluviose 2, estimée 1900 fr mobilier 142 fr, numéraire 200 fr – total 2242 fr Enregistrement, acp 173 f° 18-v du La maison revient à Marguerite Salomé Kohler qui épouse en 1814 le menuisier Georges Guillaume Nicolas 1814 Strasbourg 2 39, Not. Knobloch n° 6542 Georges Guillaume Nicolas, menuisier natif de Manheim dans le grand duché de Baden, fils de feu Léonard Nicolas, employé à la ci devant cour électorale et d’Anne Marie Blum Marguerite Salomée Kohler, âgée de 24 ans demeurant à Strasbourg, fille de Georges Michel Kohler, tisserand et de Marguerite Salomé Goenner signé Nicola Enregistrement, acp 124 F° 124-v du – apports de la future épouse 2000 fr, du futur époux 1000 fr Marguerite Salomé Kohler meurt en 1831 en délaissant un fils 1831 Strasbourg 2 71, Me Weigel n° 6893 Inventaire de la succession de Marie Salomé Kohler femme de Georges Guillaume Nicolas, menuisier, décédé le 15 novembre dernier – à la requête de 1. le veuf, 2. Jean Georges Eichhaendler, menuisier, tuteur principal de Georges Guillaume Nicolas né à Strasbourg le 11 novembre 1822 – en présence de Frédéric Gönner, employé, tuteur subrogé en la maison mortuaire rue du jardin aux Roses Contrat de mariage reçu Knobloch notaire à Strasbourg le 20 mai 1814 héritages recueillis, la moitié d’une maison, appartenances et dépendances sise à Strasbourg rue du Jardin aux Roses n° 5, d’un côté le Sr Conain sellier, d’autre le Sr Bauer pelletier, derrière le Fossé intérieur de la ville – l’autre moitié de la maison a été recueillie par la défunte dans la succession de sa mère Marie Salomé Gönner épouse de Michel Kohler, tonnelier, la totalité d’un rapport locatif de 2000 fr acp 203 3 Q 29 918 f° 49 du – La masse propre de la défunte se compose de ses apports en mariage montant en meubles et argent 2000, Plus elle a hérité pendant son mariage en meubles et argent 342 Plus la moitié d’une maison rue du jardin des Roses N° 6 en cette ville 2000, total 4342 Passif, 774 francs La maison revient à Georges Guillaume Nicolas qui épouse en 1843 Marie Acher native d’Achenheim Mariage, Strasbourg n° 509 Du 27° jour du mois de novembre l’an 1843 à dix heures du matin. Acte de mariage de George Guillaume Nicola, majeur d’ans, né en légitime mariage le 12 novembre 1822 à Strasbourg, domicilié à Strasbourg, menuisier, fils de George Guillaume Nicola, menuisier domicilié en cette ville ci présent et consentant et de feu Marguerite Salomé Kohler décédée en cette ville le 15 novembre 1830 et de Marie Acher, Majeure d’ans, née en légitime mariage le 23. juin 1822 à Achenheim Bas Rhin domiciliée en cette mairie, fille de feu Alexis Acher, boulanger décédé à Strasbourg le 27 novembre 1836 et de Salomé Hurst, domiciliée en cette Mairie, ci présente et consentante, signé G G Nicolas, M Acher i 15 Registre de population 600 MW 182 f° 363 Rue du Jardin aux Roses N° 6 i 207 Nicolas, Guillaume, 1822, Strasbourg, Menuisier, M., sorti 28 avril 52, gde rue de l’esprit 145 idem née Acher, Anne Marie, 1822, Achenheim, Ep. id. Marie Caroline 1845, Strasbourg, fille id. Marie Amélie 23 février 1848, Strasbourg, fille – 21 juin 48 décédée id. Louise Julie 15 janvier 1849, Strasbourg, fille id. Salomé Wilhelmine, 15 mars 1851, Strasbourg, fille, 10 août 51 décédée George Guillaume Nicolas et Marie Acher hypothèquent la maison au profit du négociant Jean Diehl 1843 Strasbourg 2 89, Me Roessel n° 170 Obligation – Ont comparu M. George Guillaume Nicolas, menuisier, et Dme Marie Acher, sa femme de lui dûment autorisée, les deux demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg, lesquels ont par les présentes reconnu devoir à Monsieur Jean Diehl, négociant demeurant et domicilié à Strasbourg, pour lequel est ici présent stipulant et accepte M. Jean Gustave Diehl son fils négociant demeurant et domicilié également à Strasbourg, la somme de 1000 francs pour prêt de pareille somme hypothèque, Une maison sise à Strasbourg rue du jardin des roses N° 6 d’un côté M. Conain sellier de l’autre côté le Sr Lauer par derrière le quai. Déclarent les comparans que cet immeuble appartient au Sr Nicolas pour avoir été recueilli par ce dernier dans la succession de sa mère Dme Marguerite Salomé Kohler vivante épouse de Georges Guillaume Nicolas, menuisier à Strasbourg dont le comparant était seul et unique héritier, aux termes d’un inventaire dressé par M° Weigel alors notaire à Strasbourg le 7 mars 1831. La mère du comparant était elle-même propriétaire de ladite maison pour l’avoir recueillie, moitié dans la succession de son père aux termes d’un inventaire dressé par M° Weigel le 23 avril 1825, la succession de ce dernier nommé Georges Michel Kohler vivant tisserand à Strasbourg & l’autre moitié dans la succession de sa mère Marie Salomé Goenner épouse dudit Sr Kohler. Les conjoints Kohler ont eux-mêmes acquis le même immeuble suivant contrat passé à la cidevant chambre des contrats de Strasbourg le 21 Pluviose an deux George Guillaume Nicolas et Marie Acher hypothèquent la maison au profit de Charlotte Percelat veuve du lieutenant d’artillerie Jean Engel 1844 27. Strasbourg 2 90, M° Roessel n° 480 Obligation – Ont comparu Mr. George Guillaume Nicolas, menuisier, et D° Marie Acher, sa femme de lui dûment autorisée, les deux demeurant et domiciliés ensemble à Strasbourg, lesquels ont par les présentes reconnu devoir à Dame Charlotte Percelat veuve de Mr Jean Engel en son vivant lieutenant d’artillerie demeurant et domicilié à Strasbourg, La somme de 2000 francs Immeuble hypothéqué. Une maison sise à Strasbourg rue du jardin des roses N° 6 d’un côté M. Martha propriétaire, de l’autre côté le Sr Lauer par derrière le quai. Etablissement de propriété. Les comparans débiteurs déclarent que cet immeuble appartient au Sieur Nicolas pour avor été recueilli par lui dans la succession de sa mère Dame Marguerite Salomé Kohler vivante épouse de Georges Guillaume Nicolas, menuisier à Strasbourg, dont le comparant était seul et unique héritier, ainsi qu’il est constaté par l’inventaire dressé par M° Weigel alors notaire à Strasbourg le 7 mars 1831. Ladite Dame Nicolas défunte était elle-même propriétaire de ladite maison pour l’avoir recueillie, moitié dans la succession de son père aux termes d’un inventaire dressé par ledit M° Weigel le 23 avril 1825 sur la succession de ce dernier nommé Georges Michel Kohler vivant tisserand à Strasbourg & l’autre moitié dans la succession de sa mère Marie Salomé Goenner épouse dudit S. Kohler. Les conjoints Kohler ont eux-mêmes acquis le même immeuble suivant contrat passé à la cidevant chambre des contrats de Strasbourg le 21 pluviose an deux. Etat hypothécaire … George Guillaume Nicolas et Marie Acher hypothèquent la maison au profit du jardinier cultivateur Daniel Heydel 1845 4. Xbr, Strasbourg 4 100, Not. Lauth n° 1910 Obligation – Ont comparu Mr. George Guillaume Nicolas, menuisier, & Dame Marie Acher, sa femme de lui autorisée, demeurant & domiciliés à Strasbourg, lesquels ont par les présentes reconnu devoir au sieur Daniel Heydel, fils de Frédéric, jardinier cultivateur demeurant et domicilié à Strasbourg, La somme principale de 3000 francs … Hypothèque. Une maison avec droits, aisances, appartenances & dépendances située à Strasbourg donnant dans la rue du jardin des roses N° 6 & sur le quai Lézai Marnésia, tenant d’un côté à la propriété du Sr Martha, de l’autre à celle du sieur Lauer. Les débiteurs déclarent que l’immeuble ci-dessu hypothéqué est la propriété du codébiteur par suite d’héritage qu’il en a fait de Dame Marguerite Salomé Kohler décédée épouse de Georges Guillaume Nicolas, ancien ébéniste à Strasbourg, sa mère dont il était le seul & unique héritier, ainsi que le tout est constaté par un inventaire dressé par M° Weigel, alors notaire à Strasbourg, le 7 mars 1830, enregistré. Feu la Dame Nicolas en avait eu la propriété aussi par suite d’héritage qu’elle en avait fait du sieur Georges Michel Kohler, tisserand, et de Dame Marie Salomé Goerner, décédés conjoints à Strasbourg, ses père et mère, dont elle était seule et unique héritière, ainsi que le tout est constaté par un inventaire dressé par le susdit M° Weigel le 23 avril 1825, enregistré. Enfin les époux Kohler en avaient fait l’acquisition du sieur Jean David Gütel cordonnier à Strasbourg suivant acte passé à la ci devant Chambre des Contrats de la ville de Strasbourg. Les débiteurs déclarent en outre que l’immeuble hypothéqué n’est frappé d’autres dettes, privilèges & hypothèques que d’une somme de 2000 francs due à dame Charlotte Percelat veuve du sieur Jean Engel en son vivant lieutenant d’artillerie demeurant à Strasbourg aux termes d’une obligation contenant quittance subrogatoire reçue par M° Roessel notaire à Strasbourg le 27 novembre 1844 Daniel Heydel devient propriétaire lors de l’adjudication judiciaire par expropriation forcée dirigée contre Georges Guillaume Nicolas et Marie Acher 1850 Hypothèque de Strasbourg, Transcription reg. 509 2735 n° 100, Tribunal civil Le tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg département du Bas Rhin séant en cette ville au Palais de justice a rendu le jugement d’adjudication dont la teneur suit. Cahier des charges de la vente par expropriation forcée dirigée contre Georges Guillaume Nicolas, menuisier, et Marie Acher conjoints demeurant à Strasbourg. M° Elie Stoeber, licencié en droit avoué près le tribunal civil séant à Strasbourg demeurant en cette ville déclare que le sieur Daniel Heydel jardinier cultivateur demeurant et domicilié à Strasbourg est créanciers de Georges Guillaume Nicolas, menuisier, et Marie Acher conjoints demeurant en la même ville solidaires, premièrement d’une somme principale de 3000 francs en vertu d’une obligation passée devant M° Lauth et son collègue noas en ladite cille le 4 décembre 1845 … secondement d’une somme de 275 francs montant des intérêts arriérés dudit capital échus le 4 juin 1849 ensemble les frais. Par exploit du sieru Porst huissier audiencier … La sasie et l’exploit de dénonciation sus mentionés ont été transcrits au bureau des hypothèques de Strasbourg le 19 janvier 1851 volume 169 numéros 68 et 69. Désignation de l’immeuble saisi. Une maison d’habitation sise à Strasbourg section P n° 500 donnant dans la rue du jardin des roses n° 6 et sur le quai Lezay Marnesia, tenant d’un côté à la propriété de François Joseph Martha de l’autre à celle du sieur Philippe Jacques Lauer. La contenance superficielle de cet immeuble est de 55 centiares. Cette maison a un rez de chaussée deux étages et combles. Elle a deux portes d’entrée l’une dans la rue du jardin des roses et l’autre sur le quai Lezay Marnesia où il n’existe pas de numéro. Elle est habitée par les conjoints Nicolas les leurs et des locataires et fait partie de la justice de paix du canton ouest de la Ville de Strasbourg arrondissement de Strasbourg, son revenu est de 49 francs 29 centimnes sur une contribution foncière de 18,73 francs. Conditions de la vente … Mise à prix Le poursuivant enchérit ledit immeuble pour servir de première mise à la somme de 1000 francs – Fait à Strasbourg le 2. janvier 1850. f° 188 Adjudication. L’an 1850 le 26 avril à l’audience publique des criées du tribunal civil de première instance de l’arrondissement de Strasbourg … Enchéri pendant plusieurs bougies et enfin par M° Stoeber avoué à la somme de 4000 francs … Enjoint aux parties saisies de déguerpir & abandonner là la libre disposition de l’adjudicataire l’immeuble ci-dessus adjugé f° 189 Déclaration de command L’an 1850 le 26 avril au greffe du tribunal civil de première instance séant à Strasbourg est comparu M° Stoeber avoué près ce siège lequel a dit avoir fait echère pour et au nom du sieur Daniel Heydel, jardinier cultivateur demeurant en cette ville Fils de Frédéric Heydel, Daniel Heydel épouse en 1814 Salomé Heydel 1814 Strasbourg 4 45, Not. Stoeber aîné n° 3123 Contrat de mariage – Daniel Heidel jardinier demeurant rue Ste Aurélie n° 11 fils mineur de Frédéric Heidel et de Salomé née Voltz Salomé Heidel mineure de Daniel Heidel, jardinier, et de Marie née Fridolsheim, en présence de Daniel Fridolsheim jardinier son grand père enreg. f° 145 du Daniel Heydel et Salomé Heydel vendent la maison au tourneur François Antoine Rohmer et à Marie Madeleine Elisabeth Schell 1851 Strasbourg 4 107, Not. Lauth n° 4788 Furent présens M. Daniel Heydel, fils de Frédéric, propriétaire et dame et Salomé née Heydel, son épouse de lui autorisée, demeurant et domiciliés à Strasbourg ont déclaré vendre à M. François Antoine Rohmer, tourneur mécanicien et à dame Marie Madeleine Elisabeth Schell, son épouse, demeurant et domiciliés à Strasbourg, acquéreurs solidaires Une maison d’habitation à rez de chaussée & deux étages, avec droits, aisances, appartenances & dépendancess sise à Strasbourg, donnant dans la rue du jardin aux roses où elle porte le n° 6 et sur le quai Lezai-Marnésia, tenant d’un côté à la propriété de M Martha, de l’autre à celle de M. Lauer, désignée sous le numéro 500 de la section P du plan cadastral … Etablissement de la propriété. Cet immeuble a été adjugé à M. Heydel dans l’expropriation forcée poursuivie contre le sieur Georges Guillaume Nicolas, menuisier suivant jugement d’adjudication rendu à l’audience des criées du tribunal civil de cette ville le 26 avril 1850, enregistré, dont une grosse a été transcrite au bureau des hypothèques de cette ville le 25 mai suivant, volume 509 Numéro 100 et inscrit d’office le même jour, Volume 531 Numéro 31 pour sûreté de la somme de 4000 francs montant du prix qui suivant un ordre arrêté définivement aux termes d’une ordonnance de l’un des juges du tribunal nommé commissaire en cette matière, le 23 novembre dernier, enregistré, a été attribué à M. Heydel en sa qualité de créancier hypothécaire des époux Nicolas …. Le sieur Nicolas avait recueilli ledit immeuble dans la succession de sa mère dame Marguerite Salomé Kohler, décédée veuve du sieur Georges Guillaume Nicolas, ancien ébéniste à Strasbourg, dont il était le seul & unique héritier, ainsi que le tout est constaté par un inventaire dressé par M° Weigel, alors notaire à Strasbourg, le 7 mars 1830. Feue la dame Nicolas en avait eu la propriété aussi par suite d’héritage qu’elle en avait fait du sieur Georges Michel Kohler, tisserand, & de Dame Marie Salomé Goerner, décédés conjoints à Strasbourg, ses père et mère, dont elle était seule et unique héritière, ainsi que le tout est constaté par un inventaire dressé par le dit M° Weigel le 23 avril 1825. Enfin les époux Kohler en avaient fait l’acquisition du sieur Jean David Gütel, cordonnier à Strasbourg, suivant acte passé à la ci devant chambre des contrats de cette ville le 21 pluviose de l’an deux de la première république. – Prix 7000 francs enregistré f° 37 r° c. 1 & 2 La Ville vend en 1856 un terrain à Antoine Rohmer 1856 3. maire le 3. octobre, approuvé le 5 – Vente par la Ville de Strasbourg à Antoine Rohmer propriétaire à Strasbourg de 15,20 mètres de terrain, rue de la Gare à Strasbourg, moyennant 152 francs acp 454 3 Q 30 169 f° 32 du 18. François Antoine Rohmer cède la mitoyenneté du mur à son voisin Jacques Bilger qui fait reconstruire sa maison parcelle P 449, actuel 7, quai de Paris 1858 Strasbourg 4 116, Not. Lauth n° 8692 Cession de mitoyennté – Ont comparu M. François Antoine Rohmer, tourneur mécanicien demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en sa qualité du chef de la communauté de biens légale qui existe entre lui & dame Marie Madeleine Elisabeth Schell son épouse, d’une part Et Sr Jacques Bilger, restaurateur demeurant et domicilié en la même ville, Lesquels ont dit qu’ils possedent propriétairement deux maisons contiguës sises en cette ville quai de Paris ancien quai Lezai-Marnésia, que M Bilger fait en ce moment construire la sienne sur l’emplacement d’une autre qui a été démolie, que M Rohmer a fait reconstruire à neuf il y a quelques mois la majeure partie d’un pignon, que M. Bilger désirant acquerir la mitoyenneté d’une partie de ce pignon en a fait la proposition à M Rohmer qui y a acquiescé, qu’à cet effet les parties ont fait dresser un plan des pignons dont M Bilger désire acquerir la mitoyenneté par MM Schaub et Mertz entrepreneurs de constructions en cette ville sous la date de ce jour et sur un timbre à 35 centimes, que ce plan a été reconnu exact par les comparants qui l’ont certifié véritable pour rester annexé aux présentes … que sur jedit plan la partie du pignon dont M Bilger désire faire l’acquisition de la mitoyenneté est teinté en rose et désignée sous les lettres A à H, et que ce pigon mesure dix mètres 74 centimètres enbas de maçonnerie et briques et 73 centimètres carrés de terrain et au-dessous de la maçonnerie ainsi que le tout se trouve amplement détaillé et désigné sur le plan. Les choses en cet état M Rohmer a par ces présentes vendu cédé et abandonné avec garantie contre tous troubles dettes privilèges hypothèques donations, usufruit, surenchères, cens et rente foncières … M. Rohmer est propriétaire de ce pignon et du terrain sur lequel porte* la mitoyenneté présentement vendue pour en avoir fait l’acquisition de la ville et partie comme faisant partie de la maison dont lui et son épouse ont fait l’acquisition durant leur mariage de M. Daniel Hyydel propriétaire et Dame Salomé née Heydel conjoints à Strasbourg aux termes d’un contrat reçu par M. Lauth, l’un des notaires soussignés le 29 janvier 1851 enregistré et transcrit au bureau des hypothèques le 8 août suivant, volume 528 N° 53 et inscrit d’office volume 548 N° 206 …. Et M. Bilger de son côté déclare se contenter des affirmations de M Rohmer – pour le prix de 234 francs Plan d’un pignon se trouvant entre les propriétés de M François Antoine Rohmer, tourneur, et M. Jacques Bilger restaurateur, les deux de Strasbourg, et dont une partie se trouve sur un pignon déjà mitoyen entre les deux propriétés et une autre partie sur un terrain acquis de la ville. Le dit pignon appartenant à M Rohmer et M Bilger désirant en faire l’acquisition de la mitoyenneté. Ce même pignon appartenant à M Rohmer forme pour ainsi dire des piliers et se trouve désigné sur le présent plan par la couleur rose avec les lettres A à H. 1. La lettre A désigne le terrain acquis de la ville, mesure 73 centimètres carrés, faisant à raison de 30 f. le mètre, ci f. 7,30 2. La partie du pignon désignée sous la lettre B, étant les fondation en vieilles briques mesurant 1 mètre 10 centimètres, à raison de 14 f., 15,40 3. Les parties désignées sous les lettres C et D forment le mur court du rez de chaussée et du premier étage, vers l’impasse, mesurant 4 mètres 39 centimètres ci 4,39 4. La partie désignée sous la lettre E forme un pilier mesurant en entier 0,85 5. La partie désignée sous la lettre F forme un pilier mesurant en entier 1,29 6. La partie désignée sous la lettre G forme un pilier et mesure en entier 2,26 7. Et la partie désignée sous la lettre H forme un pilier et mesure en entier 0,85 Ensemble 9,64 mètres, à raison de 29 f faisant 212,08. Total de l’estimation du pignon f. 234,78. Le plan ainsi que le mesurage du pignon et son évaluation certifiées, Strasbourg le 3 juillet 1858, signé Schaub, Fr. Mertz acp 470 3 Q 30 185 f° 83 du François Antoine Rohmer vend la maison au menuisier Frédéric Charles Mertel et au maçon François Antoine Mertz 1859 Strasbourg 4 117, Not. Lauth n° 9092 A comparu M. François Antoine Rohmer, tourneur mécanicien demeurant et domicilié à Strasbourg, lequel déclare avoir vendu … à MM Frédéric Charles Mertel, maître menuisier, et François Antoine Mertz, architecte, les deux demeurant et domiciliés à Strasbourg ci présents et acceptant section P numéro 500 & 1553 Une maison à rez-de-chaussée et trois étages, cour, droits, aisances, appartenances et dépendances sise à Strasbourg quai de Paris N° 8, tenant d’un côté à la propriété de M Lauer, de tenant de l’autre côté à celle de M Bilger et tirant par derrière sur l’impasse du jardin des roses … Cet immeuble dépend de la communauté de biens légale qui a existé entre le Sr vendeur qui est le chef et Dame Marie Madeleine Elisabeth Schell son épouse domiciliée aussi à Strasbourg, au moyen de l’acquisition qu’ils en ont faite de M. Daniel Heydel fils de Frédéric, propriétaire, et Dame Salomé née Heydel, conjoints à Strasbourg, aux termes d’un contrat reçu par M° Lauth, l’un des notaires soussignés le 19 juillet 1851 enregistré et transcrit au bureau des hypothèques volume le 8 août suivant, volume 528 Numéro 53 et inscrit d’office le même jour volume 548 Numéro 206, pour sureté de la somme de 7000 francs montant du prix de la vente … Les époux Heydel avaient été propriétaires de l’immeuble pour s’en être rendus adjudicataires dans l’expropriation forcée poursuivie contre M Georges Guillaume Nicolas, menuisier, et dame Marie Acher, conjoints à Strasbourg aux termes d’un jugement d’adjudication rendu à la barre du tribunal civil de cette ville le 26 avril 1850, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 25 mai suivant, volume 509 Numéro 100 et inscrit d’office le même jour, Volume 531 Numéro 31 pour sûreté du prix …. M Nicolas avait recueilli cet immeuble dans la succession de sa mère dame Marguerite Salomé Kohler, décédée veuve du sieur Georges Guillaume Nicolas, de son vivant ébéniste à Strasbourg, dont il était le seul héritier, ainsi qu’il est constaté par un inventaire dressé par M° Weigel, alors notaire à Strasbourg, le 7 mars 1830. La dame Nicolas en avait eu la propriété aussi par suite d’héritage qu’elle en avait fait du Sr Georges Michel Kohler, tisserand, & de Dame Marie Salomé Goerner, décédés conjoints à Strasbourg, dont elle était seule et unique héritière, ainsi qu’il est constaté par un inventaire dressé par le dit M° Weigel le 23 avril 1825. Enfin les époux Kohler en avaient fait l’acquisition du sieur Jean David Gütel, cordonnier à Strasbourg, suivant contrat passé à la ci devant chambre des contrats de cette ville le 21 pluviose de l’an deux de la première république. – pour le prix de francs acp 480 3 Q 30 195 f° 56 du Le menuisier Frédéric Charles Mertel épouse en 1846 Marie Catherine Münch, originaire d’Eckbolsheim 1846 Strasbourg 10 106, Not. Zimmer n° 6026 Contrat de mariage – Ont comparu 1° Mr Frédéric Charles Mertel, menuisier demeurant et domicilié à Strasbourg fils né le 30 décembre 1815 du légitime mariage de feu Jean Tobie Mertel vivant menuisier et de Dame Julie Christine Pfister, sa veuve actuelle, demeurant à Strasbourg d’une part 2° Mademoiselle Marie Catherine Münch fille majeure, demeurant et domiciliée à Eckbolsheim, fille née du légitime mariage du sieur Jean Münch, cultivateur et de Catherine née Münch conjoints demeurant et domiciliés audit Eckbolsheim, ladite demoiselle Münch future épouse d’autre part acp 344 3 Q 30 059 f° 13-v – Les apports du futur époux consistent 1° en outils et marchandises évaluées ensemble à 2629, 2° dans les droits qui lui competent dans la succession de son père et consistant en différent meubles et moitié de trois maisons sises à Strasbourg rue de l’Ecrevisse N° 15 et 16 et rue du faubourg de Saverne N° 29 Donation par les père et mère de la future à leur fille ce acceptant en avancement d’hoirie d’un mobilier évalué à 1350, argent comptant 492 et des immeubles ci après 1° 53 ares 43 terres ban d’Eckbolsheim en trois parcelles, 2° 2 ares terres ban de Wollfisheim canton Schlangergass, 3° 12 ares terres ban de Strasbourg canton Schlangergewand, tous ces immeubles évalués à un revenu annuel de 135, capital au denier vingt 2700. Pour prix de cette donation la Delle future épouse s’oblige à rapporter aux successions de ses père et mère la somme de 6523 francs Donation réciproque par les futurs au survivant d’eux de l’usufruit viager de la succession du prémourant Originaire de Hochfelden, le maçon François Antoine Mertz épouse en 1839 Dorothée Halbwachs, fille de meunier Mariage, Strasbourg n° 169 Du deuxième jour du mois de Mai l’an 1839 à dix heures du matin. Acte de mariage de François Antoine Mertz, majeur d’ans, né hors le mariage le 3 mars 1810 à Hochfelden Bas-Rhin domicilié à Strasbourg, maçon, fils de Madeleine Mertz, non mariée, domiciliée à Hochfelden ci présente et consentante, et de Dorothée Halbwachs majeure d’ans, née en légitime mariage le 6 juin 1812 à Strasbourg, domiciliée à Strasbourg, fille de feu Maurice Halbwachs, Meunier décédé à Erfurt en Allemagne le 20 octobre 1813 et de feu Marie Marguerite Hoh, épouse en dernières noces de Jean Daniel Schell, meunier décédée en cette ville le 20 avril 1821 François Antoine Mertz meurt en 1869 dans sa maison au Faubourg de Pierre 1869 Strasbourg 4 129, Not. Auguste Weiss n° 1506 Inventaire de la succession de M. François Antoine Mertz, architecte entrepreneur, demeurant et domicilié à Strasbourg où il est décédé le 20 février 1869 L’an 1869 le Jeudi 27 mai à neuf heures du matin, à la requête de 1. Dame Dorothée Halbwachs, sans état, demeurant et domiciliée à Strasbourg, veuve de M. François Antoine Mertz, architecte entrepreneur en la même ville, agissant dans les qualités suivantes, 1. à cause de la communauté de biens légale qui à défaut de contrat de mariage a existé entre elle et son dit défunt mari, 2. et comme donataire en usufruit avec dispense de fournir caution et de faire remploi de la moitié de la fortune de son défunt mari, aux termes d’un acte de donation passé devant M° Weiss, l’un des notaires soussignés, le 29 janvier dernier, dont une expédition sera ci après inventoriée 2. Melle Marie Mélanie Mertz, sans état, 3. M. François Auguste Mertz, entrepreneur, agissant tant en son nom personnel que comme cutareur de la mineure émancipée qui va être nommée, 4. Madame Dorothée Caroline Mertz, épouse assistée et autorisée de M. Jean Charles Alexandre Wetzel, facteur d’orgues, à ce présent, tous les comparans demeurant et domiciliés à Strasbourg, 5. Melle Louise Sophie Mertz, sans profession, demeurant et domiciliée en ladite ville, cette dernière mineure émancipée …, 6. et M. Daniel Schott, clerc de notaire, demeurant et domicilié à Strasbourg, agissant en qualité de mandataire de Mme Amélie Madeleine Mertz, épouse de M. Théodore Auguste Hoffmann, gérant de hauts fourneaux et fondeur de Pont de Roise où elle demeure avec lui … Lesdits Madame Wetzel, Mme Hoffmann, Mlle Marie Madeleine Mertz, M. François Auguste Mertz et Mlle Louise Sophie Mertz frères et sœurs germains habiles à se dire et porter seuls et uniques héritiers de feu leur père chacun de pour un cinquième le tout trouvé dans une Maison sise à Strasbourg rue du faubourg de Pierre n° 16 où M. Mertz est décédé le 20 février dernier Acquêts de la communauté. Cote quatrième. Une pièce qui est une expédition d’un contrat reçu par M° Becker, notaire à Strasbourg le 19 février 1855 Une vaste propriété commue autrefois sous le nom de brasserie du cheval noir et sous la dénomination de Brasserie d’Alsace faubourg de pierres N° 87 Cote cinquième … rue de la soupe à l’eau autrefois N° 11, aujourd’hui n° 19 rue de la soupe à l’eau autrefois N° 12, aujourd’hui n° 21 acp 583 3 Q 30 298 f° 52-v du succession déclarée le 18 avril 1869 N° 175 Communauté, mobilier – succession, garde robe 261 acp 585 3 Q 30 300 f° 86-v du vacation du 4 août Sommes dues constructions créances 1655 et Une propriété à Strasbourg faubourg de Pierres N° 87 deux maisons rue de la Soupe à l’Eau N° 19 et 21 terre canton Rheinquell, terres dit canton 66 gravière canton Ménagerie, prés dit canton argent 1039 – Passif Registre de population 600 MW 322 i 104 Mertz François 11 h. M Entrepreneur, Luthérien, français à Strasbourg depuis 36 id. née Halbwach, Dorothée 13 f. M. sa femme à Strasbourg dsn id. Caroline 40 f sa fille – voir femme Wetzel id. Amélie Madeleine 1. 41 sa fille, mariée le 27 avril 1865 à Hoffmann partie le même jour pour Pont de Roide Doubs id. Marie 45 sa fille id. Auguste 48 son garçon id. Sophie 52 sa fille Frédéric Charles Mertel et Catherine Münch d’une part, François Antoine Mertz et Dorothée Halbwachs d’autre part vendent au restaurateur Antoine Trœstler et à Anne Marie Thurnreither une maison qu’ils ont fait reconstruire 1863 Strasbourg 4 122, Not. Lauth subst. par M° Holtzapffel Ont comparu M. Frédéric Charles Mertel, maître menuisier, et Dame Catherine Münch, son épouse de lui autorisée demeurant et domiciliés à Strasbourg Et M. François Antoine Mertz, architecte, et D° Dorothée Halbwachs, son épouse de lui autorisée demeurant et domiciliés en la même ville, déclarent par les présentes vendre à M. Antoine Troestler, restaurateur, et à Dame Anne Marie Thurnreither, son épouse demeurant et domiciliés à Strasbourg, acquéreurs solidaires section P numéro 500 & 1553 Une maison à rez-de-chaussée et trois étages avec petite cour, droits, aisances, appartenances et dépendances, sise à Strasbourg, quai de Paris N° 8, tenant d’un côté à la propriété de M Lauer, de l’autre côté à celle de M Bilger et tirant par derrière sur l’impasse du jardin des roses où elle porte le N° 3. … Déclarent les vendeurs qu’ils ont fait construire la maison présentement vendue sur l’emplacement d’une autre maison qu’ils ont acquis de M. François Antoine Rohmer, tourneur mécanicien demeurant à Strasbourg, aux termes d’un contrat de vente passé devant M° Lauth, notaire substitué, le 9 août 1859, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de Strasbourg le 12 dudit mois d’août, Volume 781 Numéro 30 et inscrit d’office volume 741 Numéro 5 pour sureté du prix d vente … La maison acquise par les époux Mertz et Mentel avait dépendu de la communauté de biens légale qui existé entre M Rohmer qui en est le chef et son épouse ci-dessus nommée, au moyen de l’acquisition qu’ils en ont faite de M. Daniel Heydel fils de Frédéric, propriétaire, et Dame Salomé née Heydel, conjoints à Strasbourg, aux termes d’un contrat reçu par M° Lauth le 19 juillet 1851, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques volume le 8 août suivant, volume 528 Numéro 53 et inscrit d’office le même jour volume 548 Numéro 206, pour sureté de la somme de 7000 francs montant du prix de la vente … Les époux Heydel avaient été propriétaires de l’immeuble pour s’en être rendus adjudicataires dans l’expropriation forcée poursuivie poursuivie contre M Georges Guillaume Nicolas, menuisier, et dame Marie Acher, conjoints à Strasbourg aux termes d’un jugement d’adjudication rendu à la barre du tribunal civil de cette ville le 26 avril 1850, enregistré et transcrit au bureau des hypothèques de cette ville le 25 mai suivant, volume 509 Numéro 100 et inscrit d’office le même jour, Volume 531 Numéro 31 pour sûreté du prix …. M Nicolas avait recueilli cet immeuble dans la succession de sa mère Ddame Marguerite Salomé Kohler, décédée veuve du sieur Georges Guillaume Nicolas, de son vivant ébéniste à Strasbourg, dont il était le seul héritier, ainsi qu’il est constaté par un inventaire dressé par M° Weigel, alors notaire à Strasbourg, le 7 mars 1830. La Dame Nicolas en avait eu la propriété aussi par suite d’héritage qu’elle en avait fait de M. Georges Michel Kohler, tisserand, et de Dame Marie Salomé Goerner, décédés conjoints à Strasbourg, dont elle avait été seule et unique héritière, ainsi qu’il est constaté par un inventaire dressé par le dit M° Weigel le 23 avril 1825. Enfin les époux Kohler en avaient fait l’acquisition de M Jean David Gütel, cordonnier à Strasbourg, suivant contrat passé à la ci devant chambre des contrats de cette ville le 21 pluviose de l’an deux de la première république. – pour le prix de francs acp 525 3 Q 30 240 f° 67-v du Le brasseur Jacques Richert vend à Antoine Trœstler de Rosheim son fonds sis 5, rue Thomann 1862, Enregistrement de Strasbourg, ssp 136 3 Q 31 635 f° 66-v du du 17 décembre 1862. Vente mobiliere – Mr Jacques Richert, brasseur et restaurateur à Strasbourg cède au Sr Antoine Troestler, brasseur à Rosheim, demeurant présentement à Strasbourg le fonds de restaurateur qu’il exploite présentement à Strasbourg dans une maison appartenant au Sr Taton située rue Thomann N° 5. Cette cession comprend outre l’achalandage, les objets mobiliers ci après désignés, savoir, 6 tables, un comptoir, 16 chaises, 2 banquettes à 122 fr. une grande glace, des matelats, des couvertes à 125 fr, le bois de lit en sapin à 52 fr. Les plumons, les oreillers à 100 francs, les traversins, 4 petites glaces, 6 petites paillasses, 2 tables de nuit, une commode à 85 fr. Mr Troestler entrera en possession desdits objets mobiliers ainsi que du fonds de restauration à lui cédé demain 18 Xbre 1862 – Cette vente est faite pour le prix de 100 francs du 17 décembre 1862. Vente mobiliere – Mr Richert, brasseur, M Troestler des articles ci après désignés, savoir 17 draps de lit … total 384 ff du 16 décembre 1862. Vente mobiliere – Mr Jacques Richert, brasseur et aubergiste, sous locataire d’une maison sise en ladite ville, rue Thomann N° 5 appartenant à M. Guillaume Taton, propriétaire en cette ville, suivant bail reçu M° Momy notaire à Strasbourg le 13 août 1862 et qui lui a été passé par Fidèle Xavier Cauche restaurateur à Strasbourg locataire direct du Sr Taton, sous-loue à M Antoine Troestler, brasseur à Rosheim, pour huit ans commençant le 18 décembre 1862 et finissant le 25. Xbre 187. Le sous bail est fait dans les mêmes charges imposées à M. Richert par ledit sous bail. Le bail est en outre fait pour un loyer annuel de 1050 francs Originaire de Rosheim, Antoine Trœstler épouse en 1863 Anne Marie Turnreitter, originaire de Holzheim 1863 Strasbourg 4 121, Not. Lauth n° Contrat de mariage – Ont comparu M. Antoine Troestler, restaurateur demeurant et domicilié à Strasbourg, fils majeur de M. Xavier Troestler, cultivateur et de Barbe Elisabeth Helmbacher décédés conjoints à Rosheim Et Mademoiselle Anne Marie Turnreitter née à Holzheim, sans état, demeurant à Strasbourg, fille majeure de feu M. Mathias Turnreitter, de son vivant cultivateur à Holtzheim, et de Dame Rosine Ott sa veuve demeurant audit lieu acp 523 3 Q 30 238 f° 52-v du Stipulation de communauté de biens réduite aux acquets, partageable par moitié Les apports du futur époux consistent 1 mobilier estimé ci 2000 2 dans sa part à la succession de ses père et mère non liquidée Ceux de la future épouse consisent 1 le mobilier et argent comptant estimés à 2000 francs Donation réciproque par les futurs époux au survivant d’eux de l’usufruit viager de la succession du prémourant, réductible à la réduction légale en cas d’existence d’enfants . 460 445 249 488 417 387 387 474

elisabeth lévy qui est son mari